• Seine-et-Marne : la première commission #RSA s’est tenue à huis clos
    http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/seine-et-marne-la-premiere-commission-rsa-s-est-tenue-a-huis-clos-09-03-2

    Cette nouvelle commission est chargée de suspendre le versement du RSA lorsque le bénéficiaire refuse de se soumettre à un #contrôle, de suivre une #formation, ou s’il est radié de #Pôle_emploi.

    Ai dépassé le quota de gratuit PL et suis en #paywall.

    RSA : LA CHARENTE VEUT MIEUX ENCADRER SES BÉNÉFICIAIRES
    http://www.charentelibre.fr/2016/03/08/rsa-la-charente-veut-mieux-encadrer-ses-beneficiaires,3021490.php

    Le Haut-Rhin et la ville d’Aulnay-sous-Bois veulent conditionner le versement du RSA à des heures de bénévolat. La Charente préfère renforcer l’encadrement des #allocataires : avec plus de devoirs. (...) Samuel Cazenave, le monsieur insertion du conseil départemental, avait émis l’idée, lors du débat d’orientations budgétaires de décembre. Depuis, il a affiné sa réflexion. « Je ne veux pas d’un RSA punitif ou d’un engagement qui montre du doigt », dit l’élu charentais qui pointe les chiffres effrayants du RSA dans le département : 13.338 allocataires, chiffre en hausse de près de 4% entre 2014 et 2015.

    Du bénévolat pour les bénéficiaires du RSA ? Le Département [’Indre-et-Loire] lance l’idée
    http://www.tribune-tours.fr/du-benevolat-pour-les-beneficiaires-du-rsa-le-departement-lance-l-idee

    Plus de 72 millions d’euros ont été versés l’an dernier dans le département aux 15 000 bénéficiaires du RSA, Revenu de Solidarité active. Un montant qui pèse toujours plus lourdement sur le budget du Conseil départemental. Pour tenter d’inverser la tendance, le Département a lancé de nouvelles mesures de contrôle et d’aide à la réinsertion professionnelle, notamment auprès des jeunes... (...) En Indre-et-Loire, pas d’obligation, mais une incitation. Et un bénéfice double : « pour les associations qui manquent de bras et pour les bénéficiaires du RSA de plus en plus isolés, enclins à perdre confiance… Cela permettrait de valoriser davantage les CV » argumente Vincent Louault, conseiller départemental Les Républicains, délégué en charge du Revenu de Solidarité Active et de l’Insertion. Loin de vouloir stigmatiser, il ajoute « je le sais pour rencontrer des personnes au RSA chaque semaine : beaucoup de savoir-faire sont gâchés ». Autres mesures que le Département souhaite déployer : un contrôle renforcé des versements du RSA pour limiter les fraudes, le durcissement de la procédure de #sanction, dont la #radiation, rarement appliquée jusqu’à présent, un effort de 100 000 € en plus du million et demi investi pour les contrats aidés et des actions ciblées pour favoriser l’insertion ou le retour à l’emploi type job-dating avec des entrepreneurs… « Pour rappel, l’insertion, c’est 7 millions d’investissements », note l’élu. Que d’actions pour tenter l’endiguer l’explosion du coût du RSA : plus de 72 millions d’euros sont versés cette année aux 15 000 bénéficiaires du département. « Ce nombre augmente en moyenne de 9 % tous les ans », indique le conseiller du canton de Bléré.