En ce moment, à la Maison du Peuple Occupée, trainent les versions papier de ça :
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Y’a que moi que ça navre ? On dirait qu’une incantation maladroite a réveillé le rédac chef du Charivari en oubliant complètement la formule pour upgrader son programme satyrique.
C’est limite embarrassant à lire.
Ça me fait métacaricaturer,
et j’en suis pas fier.
Décidément, la caricature, comme mode de représentation de l’ennemi et, en creux, comme représentation d’une sorte d’entresoi surplombant et familial, ne cesse de me remplir de tristesse.
Le manque d’imagination politique en matière de représentation nous étouffe complètement et rabat toute ampleur d’un travail d’écriture à faire sur le mode du slogan, de la communication, bref, sur le mode de l’ennemi même qu’on prétend brocarder.