ARNO*

Geek dilettante habitant une belle et grande propriété sur la Côte d’améthyste

  • Je découvre la Une du Parisien chez le boulanger : « Dites NON à la crise ! ». Doublé d’un épatant questionnaire sur son site : La crise va-t-elle vous inciter à changer votre mode de vie ?
    http://www.leparisien.fr/economie/la-crise-va-t-elle-vous-inciter-a-changer-votre-mode-de-vie-01-01-2012-17

    Prix, chômage, impôts, taxes, emplois... la pression de la crise se fait plus forte sur un nombre croissant de Français. Beaucoup avouent avoir le moral en berne. Et pourtant, face aux difficultés économiques, tous n’affichent pas les mêmes réactions. Question de personnalité, d’expérience, de volonté... Des scientifiques estiment ainsi que « le bonheur, c’est dans la tête », selon l’analyse du neurobiologiste Jean-Pierre Ternaux (CNRS).

    Faute de perspectives encourageantes apportées par l’économie, chacun peut aussi se fixer des objectifs personnels qui lui permettront de se projeter dans un futur plus souriant : s’adonner à de petits plaisirs ou cultiver de grandes passions, voir le positif dans des gestes quotidiens... Bref, ne pas se laisser abattre.

    Au cas où t’as pas compris, connard : la crise, c’est juste dans la tête.

    • « la crise est grotesquement psychologique » comme disait Alain Minc en octobre 2008, où comment tenter de convaincre les plus pauvres et les classes moyennes (qui paieront plus et toucheront moins avec les mises à sac des politiques de redistribution) de consommer quand même pour maintenir la machine économique à flot en faisant passer leurs baisse de revenus pour une hallucination collective.

    • #journaliste_c_est_un_metier

      J’ajouterais nez en moins (mais mon appendice nasal va fort bien, merci) que si vous croisez un mec (c’est souvent un mec) avec une arme à feu, ne pas se laisser abattre est une option qui peut rester intéressante si l’on ne souhaite pas vivre une crise toute interne, intérieure, profonde...

      (et bonne année)