Monolecte đŸ˜·đŸ€Ź

Fauteuse de merde 🐘 @Monolecte@framapiaf.org

  • Ces villes qui expĂ©rimentent les #services publics gratuits - Basta !
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    Ce n’est pas tout. Gabriel Amard projette dĂ©sormais de se passer des services de #Eau du Sud Parisien, branche rĂ©gionale de la Lyonnaise des Eaux (groupe Suez Environnement), pour l’approvisionnement en eau et de se tourner vers la rĂ©gie publique Eau de Paris. Une dĂ©cision qui n’est pas du goĂ»t de l’entreprise, qui a fait appel, en 2011, au cabinet de conseil en stratĂ©gie de communication et gestion de crise Vae Solis Corporate pour « limiter et rĂ©duire, en la discrĂ©ditant sur le fond, la communication », jugĂ©e « agressive » et « outranciĂšre » du prĂ©sident de la communautĂ© d’#agglomĂ©ration (lire notre article). Soutenu par Eau de Paris, l’élu a portĂ© plainte en juillet dernier contre Eau du Sud Parisien et le cabinet pour « trafic d’influence actif ». La Lyonnaise des Eaux, qui a condamnĂ© officiellement les pratiques de sa filiale Eau du Sud Parisien, a demandĂ© le lancement d’une enquĂȘte interne
 Tout en dĂ©clarant Ă  son tour vouloir porter plainte contre Gabriel Amard pour « dĂ©nonciation calomnieuse ». L’affaire suit son cours.

    « Pour nous, la #gratuitĂ© permet de redistribuer l’impĂŽt en cohĂ©rence avec notre planification Ă©cologique, affirme NathanaĂ«l Uhl, le directeur de la communication de la CALE. Nous dĂ©sirons aussi montrer par lĂ  que l’eau est un bien commun et qu’il est de notre responsabilitĂ© collective d’en prendre soin. » Et d’ajouter : « Nous avons pris le parti de rompre avec une certaine idĂ©e qui prĂ©vaut parmi les Ă©lus de gauche disant que la seule façon de responsabiliser les gens est de les faire payer... » Pour la CALE, la #distribution de l’eau potable a Ă©tĂ© la premiĂšre expĂ©rience de la gratuitĂ©. Aujourd’hui, la communautĂ© d’agglomĂ©ration de l’Essonne loue des vĂ©los et fournit des composteurs gratuitement Ă  ses administrĂ©s. « Nous voulons ĂȘtre un exemple car nous proposons des alternatives politiques concrĂštes. Ce ne sont pas uniquement des mots, ce sont des actes ! », insiste NathanaĂ«l Uhl.