• Manhood and the Exploitation of Animals
    Brian Luke’s 2007 book, Brutal: Manhood and the Exploitation of Animals, explores the gendered nature of our relationship to other animals. Humans, he argues, are not naturally inclined to be violent towards other animals, but men’s attempt to rival women’s life-giving capabilities has fostered this behavior. The idea is that men can increase their social status through animal sacrifice. Sacrificial institutions (such as hunting, flesh production, or vivisection), he argues, position men as the primary generators of human life. While women generate life directly and positively (childbirth and nursing), men are the counter. Men tend to generate life indirectly and negatively via death and violence.
    http://www.coreyleewrenn.com/manhood-and-the-exploitation-of-animals

    • Les peuples dits « égalitaires » ca me semble toujours du domaine du mythe. Peut être que ca veut dire « moins inégalitaires que d’autres ».

      Les Batek de Malaisie ont l’air de tout de même bien divisé les rôles selon la tradition patriarcale habituelle - hommes et armement VS femmes et cosmétique. Sur wikipédia (source discutable je le sais) il est question de :

      Certaines choses sont considérés comme des biens personnels, comme la sarbacane des hommes, ou les peignes des femmes.

      Dire que c’est non-violent de tuer seulement les non-humains ca se discute. La mise à mort vu comme acte non-violent ca me pose problème.

      C’est bien possible qu’en vivant par groupes nomades de 10 sans notion de propriété, ca aide à être moins oppressif que dans une groupe de 1000000. Et je ne voie pas trop comment on peu s’inspirer du model Batek dans le contexte des mégalopoles actuelles et de leur approvisionnement massif en viande.

      Je comprend que c’est moins affreux de manger la viande d’un animal qui a vecu quelques mois de plus qu’un animal de batterie et dont on sais que l’agriculteurices à pris un peu plus soin que le font d’autres. C’est bien si on est à la campagne et qu’on connais personnellement tous les éleveurs chez qui on se fournis en viande ou qu’on bouffe ses propres poules.
      Mais quant on habite par groupes de 2.249.975 habitants comme c’est le cas par chez moi, on ne peu pas imaginé que chaque habitant carniste va aller rencontré personnellement les éleveureuses et s’informer de visu sur les conditions d’élevages. Sans parlé d’allé se rendre compte des conditions d’abattages à cette échelle là.

      On a vu avec L214 que même dans les abattoires dit « bio » les vaches sont découpés vivantes et leur mise à mort reste une horreur industrielle. Il n’y a pas moyen de rendre l’industrialisation de la mise à mort -sympa- douce-bienveillante- équitable. Et si les citadin·ne·s mangent de la viande, ca implique une industrialisation de l’élevage et de la mise à mort.

      Par rapport à la mise à mort, j’imagine que les poules et les poulets ne sont pas toujours conduits à l’abbatoire et doivent être décapité à domicile de manière artisanale de temps en temps, malgrès les interdictions sanitaires. Mais par exemple les vaches même élevé dans d’excellentes conditions, passent par une mise à mort industrielle. Les vaches découpées vivantes dans l’abattoir bio filmé par L214 avaient eu une très belle vie de vache dans un jolie paysage champêtre. C’est le cas de la plus part des vaches en france, car les élevages bovins en France sont de taille relativement petits (52 têtes en moyenne par éleveureuses).

      Je comprend qu’on puisse préféré favoriser la culture paysanne de l’élevage traditionnel dans des conditions de petite exploitation locale quant on y a accès. Personnellement j’ai pas envie d’aller voire des élevage à la campagne. Pas envie de perdre mon temps à voyager pour un plaisir gustatif que je peu trouvé avec d’autres aliments. Alors je ne mange plus de viande parce que j’en ai pas besoin et que je suis sur que la viande que je trouverais serait d’origine concentrationnaire.

      Qu’on choisisse ses priorité, comme tout le monde le fait, parcqu’on peu pas tout faire en même temps, c’est bien normal. Sinon personne ici n’aurais de PC vu les conditions de fabrications de ces machines sont bien connus de toutes et tous. Et comme on est pas non plus fana du nucléaire on aurai plus l’éléctricité non plus sans parlé du reste.
      Je comprend qu’on place ce sujet de la préservation de la paysannerie au dessus de la vie des non-humains. Chacun·e·s ses priorités. Mais je pense qu’on peu avoir cette priorité sans atténué la violences de ce qu’est l’élevage en soi. Dans tous les cas de figure le principe reste de prendre un être vivant qui a rien demandé, le tenir en captivité, exploité ses ovules, ses fluides corporelle, tuer ses petits et finir par abattre dans la fleure de l’age une fois les ovules et autres sécrétions taries pour manger sa chaire.
      C’est pas parce qu’on est plus futé qu’une poule qu’on peu la traité comme une chose.