Pénélope Fillon ne comprend rien à ce qui lui arrive, et elle n’y est même probablement pour rien.
En fait, c’est François Fillon qui a donné la réponse dès le début devant les médias, le 25 janvier 2017 : « Alors, parce que c’est mon épouse, elle n’aurait pas le droit de travailler ? Imaginez un instant qu’un homme politique dise d’une femme, comme le fait cet article, qu’elle ne sait faire que des confitures, toutes les féministes hurleraient. »
Lors du sinistre « meeting » de La Villette, il l’a traînée là par la main, même si les menottes étaient transparentes.
Elle était visiblement comme droguée, comme ailleurs.
Elle a eu sa haie d’honneur, ses applaudissements, et même son bouquet, entourée/cernée qu’elle était des affidé(e)s/inféodé(e)s de cette clique qui sait, qui cautionne, qui en profite.
Elle était assise, puis elle a mis du temps à se lever, mais puisqu’il le fallait…
Ensuite, des gros plans ont été faits.
François lui pose la main sur l’épaule, puis sur le bras, puis lui prend la main gauche. Lui a un regard bizarre.
Bruno Retailleau, son premier couteau, est à sa droite, au cas où elle bougerait : la tenaille, l’étau.
Elle était visiblement tétanisée, dans un vrai cauchemar.
Je suis maintenant certain qu’elle ne savait rien de tout cela.
Que son politicard de mari est un putain de « Manipulateur Pervers Narcissique », mais extrême, hors limites.
Et que son fantasme, c’est Marianne, la France, et sa population, femmes, hommes et enfants confondus, tous passifs dans les sévices annoncés dans son « programme ».
Ses papouilles et violences de premier ministre sous Sarkozy n’étaient probablement pas suffisantes pour l’assouvir, non, il veut les mains libres, tous les pouvoirs, pour exercer ses déviances et ne satisfaire, bien sûr, que lui-même et ses complices de perversion.
Quant à Pénélope, elle rêve probablement de retourner à ses confitures, mais en est-elle encore capable ?