En donnant un nouveau mandat dès le premier tour au président sortant Hassan Rohani contre son principal adversaire ultraconservateur, les Iraniens semblent avoir plébiscité l’ouverture. Le niveau relativement élevé de la participation témoigne d’un soutien populaire à l’accord sur le nucléaire, perçu comme une bouffée d’oxygène en dépit du maintien d’une partie des sanctions et de l’hostilité de la nouvelle administration américaine. Sur le plan intérieur, le nombre des laissés-pour-compte et l’encadrement de la population rappellent l’étroitesse des possibles, qui pour beaucoup se résume — comme lors des législatives de l’an passé — à un choix « du mauvais contre le pire »
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