• Rappelant que le couple faisait chambre à part depuis plusieurs semaines, l’accusé a en effet reçu un soutien inattendu et déplacé de la part du magistrat, ce dernier estimant que l’épouse se soustrayait à son devoir conjugal.

      Outrée, l’avocate de la partie civile n’a pas mâché ses mots dans les colonnes du journal Le Parisien : « [Le juge] a insisté ! Par trois fois, il est revenu sur le devoir conjugal, en expliquant même qu’il avait été juge aux affaires familiales et qu’il savait de quoi il parl[ait] ! Mais enfin, le devoir conjugal, ça n’existe pas. On n’est plus dans les années 1960 ! »

    • IL faut croire que ce type vie dans les années 60 dans sa tête ; mais c’est incroyable quand même, quand on pense que des évidences sont acquises, voilà que des hommes parlent comme par le passé ...Si il est ainsi je plains sa femme...

    • C’est dingue. Est-ce qu’il existe des sanctions contre les juges ? Un juge comme celui là qui tiens des propos ouvertement pro viol, et qui légitime l’usage de la violence contre une femme pour s’être soustraite au viol conjugale, n’est-il pas hors la loi ?
      Quand à la femme de ce juge ca mériterait une enquête sociale pour savoir si elle est pas violée quotidiennement par ce juge inique.
      Je m’inquiète aussi pour le passage de ce juge aux affaires familiales. Est-ce qu’il ne faudrait pas rejugé toutes les affaires qui lui sont passées entre ses sales mains vu que c’est clairement un juge qui fait la promotion d’un crime : le viol.

      En même temps la #fraternité est écrite sur tous les frontons des institutions françaises et ce juge respecte à la lettre l’esprit de la république en soutenant un homme qui brutalise une femme. Ca m’étonnerais qu’il ai le moindre problème.

      #culture_du_viol #viol #violences_masculine #domination_masculine #injustice #femmes

      edit : Comme (trop) souvent j’ai commenté sans lire l’article !

      L’affaire ne risque pas de s’arrêter là. L’avocate de la plaignante a rédigé un courrier au président du tribunal de grande instance de Nanterre, Jacques Boulard. Immédiatement convoqué pour s’expliquer, le juge mis en cause sera de nouveau entendu la semaine prochaine. La présidence des comparutions immédiates pourrait lui être retirée.

      Peut être que ce juge aura des problèmes pour son apologie du crime de viol. Et peut être que les comparus immédiat·e·s ou pas, seront débarrassés de ce fléau sexiste sur pattes.