Chère @tetue , je profite que le sujet est ouvert : je voudrais pouvoir transmettre à mon éditeur, pour mon prochain roman, des recommandations pour qu’il soit plus facilement lisible pour les dyslexiques, c’est une sorte de promesse que j’ai faite à ma fille Adèle qui veut pouvoir lire le prochain. Existe-t-il une charte ? Et dans cette charte quelles sont les recommandations les plus importantes parce que je ne pourrais sans doute pas exiger toute la refonte de la maquette déjà existante.
Cet été, la discussion est venue avec Adèle en cherchant dans mes livres d’adolescent dans la maison cévenole ceux des livres qu’Adèle trouvait les plus lisibles. La maquette des Folio des années septante par exemple n’était pas sans donner des problèmes tandis qu’un tout petit éditeur qui n’avait pas du beaucoup se donner de mal avait produit quelque chose d’assez parfait du point de vue d’Adèle.
Par la suite, ayant lu de mon côté Rose-Ronce d’Eric Chevillard, l’ayant bien apprécié et me demandant si d’aventure ce ne serait pas du goût d’Adèle cette espèce d’actualisation d’ Alice au Pays des merveilles , j’ai eu à découvrir de la bouche d’Adèle que la maquette tellement sobre et belle des éditions de Minuit , c’était juste parfait, loué soit Garamond !
Bref, si tu as quelques ressources sur ce sujet spécifique, je suis ton public captif.
Amicalement
Phil