Boulot boulot : je viens de mettre en ligne la nouvelle-nouvelle version du site du musée d’Art contemporain du Val-de-Marne :
►http://www.macval.fr
On avait déjà livré la nouvelle version il y a quelques mois, mais cette fois j’ai tout refait en #responsive_web_design.
Quelques remarques :
– c’est du SPIP, et avec mon plugin « CSS imbriqués », c’est du bonheur ; le pseudo-style « -spip-clear : fix », qui permet de déclarer des « auto-clear » sur n’importe quel style, est vraiment pratique, puisqu’il est particulièrement adapté aux media queries (alors qu’un style qu’on baptiserait « .clearfix » ou « .nettoyeur », c’est pas gagné qu’il nettoie ou qu’il nettoie pas selon la largeur de l’écran) ;
– c’est certes agréable à faire, mais c’est du boulot et ça prend beaucoup du temps ; intégré directement au budget initial, ça peut plomber assez nettement la facture d’un développement de site ;
– il faut un assez bon niveau de maîtrise des CSS (positions, flotteurs, etc.).
Les deux derniers points expliquent largement le succès du Responsive Web Design chez les professionnels de la profession : si on en cause tellement, et si tout le monde répète que c’est comme ça (et pas autrement) qu’il faut faire, c’est largement lié à ça : ça représente des journées entières de développement à facturer, et ça permet à nouveau d’établir un clivage niveau compétences. Je dis pas que c’est pas épatant, le Responsive Web Design (la preuve, j’en fais), mais comme toujours quand quelque chose devient une « évidence » sans laquelle on n’est pas censé pouvoir de site Web, il y a aussi de mauvaises raisons.