Il s’agit aussi d’éviter aux salariants d’avoir à faire des avances de frais avant remboursement par le Trésor public, ou la CAF (par exemple pour la PAJE prestation d’accueil du jeune enfant), par exemple.
C’est à rapprocher de la diminution drastique des dits « emplois aidés ». Quel emploi ne l’est pas, aidé ? dès lors que la société prend en charge une bonne part des investissement liés à l’élevage de la main d’oeuvre, à la fourniture d’infrastructures, etc. ?
Dans cette affaire, l’ouverture aux banques réclamées est habile puisque ce qui est en jeu le C.A d’#auto-entrepreneurs qui a un moment devra bien permettre à davantage de concernés de survivre. Plutôt que de faire faillite et recommencer on se sait quoi, il vaut mieux moins de faillite et plus de possibilités de « rebondir ». Et c’est aussi alimenter en clientèle les boites de services à la personne.
L’état est l’organisateur de la concurrence sans laquelle il n’y aurait pas de marché. Entre loi travail bis et la réforme du droit au chômage quel va comporter, on va en voir de belles, mais il est possible qu’à cette occasion deux ou trois clarifications interviennent.
#salariants