Le phrasé de Jacques Josse est reconnaissable entre tous et je suis incapable de saisir d’où vient son charme ; il persistera quand j’aurai compris, si jamais. Dominique Dussidour me dit, en musicienne, que c’est un mélodiste, elle observe qu’il y en a peu, elle ajoute, en peintre, que la phrase file à l’horizontale sans jamais vraiment s’arrêter.
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