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Entre la paupérisation touchant de près ou de loin les deux tiers de la population, le survivalisme étendu, le non versement des salaires à près d’un million de salariés du secteur privé, les lois mémorandaires qui tombent du ciel pollué de l’occupation Troïkanne, les lois et réglementations fiscales qui changent dix fois par an ainsi que celle concernant la Sécurité prétendument sociale et les retraites, déjà lorsqu’on n’est pas malade dans ce pays, la visibilité s’arrête au bout du nez ; quelques jours, quelques semaines, la fin du mois.
S’y ajoutent, les mensonges à répétition de la bande à Tsipras et des autres para-politiciens que la colonie jardine encore et hélas. Le dernier mensonge officiel, c’est la prétendue “sortie de la tutelisation mémorandaire en 2018”, lorsqu’on sait par exemple que le mémorandum Tsipras offre potentiellement le contrôle de l’ensemble des biens publics grecs aux prétendus “créanciers” pour 99 ans et que le dépeçage de l’économie grecque et des biens aussi privés, au profit bien entendu d’un nombre alors croissant de rapaces internationaux, ainsi que d’une clique bien locale, largement liée au système mafieux et népotiste des partis supposés politiques.
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Disons enfin que les expérimentations économiques (dictées par la Troïka aux politiciens grecs), elles ont entraîné le plus grand désastre économique et social de l’histoire du capitalisme en une période de paix. Ces mêmes expériences, ayant comme prévu désormais atteint avec le noyau dur de la souveraineté comme de la démocratie, risquent de conduire, non plus seulement à une catastrophe économique mais in fine, à une catastrophe militaire.
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