@tetue C’est vraiment passionant ce débat et les implications que cela peut avoir pour une personne, qui, comme moi, écrit, presque tous les jours, sont redoutables. Lorsque je ne parviens pas à éviter la nécessité d’un point médian, je vis cela comme un échec et il peut m’arriver de reprendre tout un paragraphe pour retomber sur mes pieds. Du coup, pour ce qui est de la fiction, j’avais coutume d’imprimer, relire-corriger, reporter les corrections et réimprimer une douzaine de fois, et vers la fin, faire des relectures plus spécifiques, une pour la ponctuation, une autre pour la concordance des temps, une autre pour la fluidité, je passe donc désormais à treize, une relecture pour les accords et autres problématiques de genre.
Et juste parce qu’on parle, je t’avais sollicitée pour une autre problématique, celle des recommadations pour qu’un texte soit dyslexic friendly , l’idée est en train de progresser, je l’espère, dans le cerveau de mon éditeur, pour que mon prochain roman soit composé en suivant, autant que possible, certaines des recommandations que tu m’avais données et autres sources vers lesquelles tu avais pointé. En revanche je crois que le texte en drapeau, non justifié, là ça risque d’être la limite.
Est-ce que par exemple tu sais si les différentes polices de caractères ont des notes de dyslexic friendliness, si tu me passes l’expression . Et si c’est le cas, est-ce que tu sais quelle est la note (le rang) de Freight ?