Ce jeudi, le procès du gérant et du supposé patron d’un salon de coiffure et manucure de Château d’eau s’est tenu jusque tard dans la nuit. Une condamnation pour « traite d’êtres humains » acterait la victoire d’une poignée de femmes et d’hommes, à l’époque sans papiers, exploités mais déterminés.
Leur combat - démarré en 2014 - La Revue Dessinée l’avait suivi pendant des mois, du piquet de grève à la régularisation.
Ce reportage vous est offert pour l’occasion : ▻https://issuu.com/revuedessinee/docs/cha__teau_d_eau_