On avait mal fermé la porte
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Il y a les bons #pauvres et les mauvais pauvres. Les bons pauvres participent à des « ateliers de redynamisation », à des « bilans de compétences », à des séances de « relooking » ou de « job dating » pendant lesquelles ils s’efforcent de « séduire » un entrepreneur. Ou bien ils bossent, à la journée, pour de sympathiques Entreprises de travail temporaire d’insertion (Etti) archisubventionnées. C’est fou, tout le pognon distribué à de joyeux philanthropes pour occuper les bons pauvres, ou leur faire croire qu’on va leur trouver un taf. Ce n’est pas croyable le nombre d’emplois générés par ces empotés pas foutus d’en trouver un !