Je trouve que l’angle choisi pour présenté cette interprète est typique du sort qu’on réserve aux femmes dans la mémoire collective. Élève de et dame de 103 ans... c’est quoi l’intérêt ? Cette personne à l’age de la mort de Debussy... à 3ans près. C’est vraiment interessant. A lire cette présentation la qualité de l’intreprétation est pas formidable et on sais pas trop pourquoi il faudrait l’aquerire. C’est peut etre pas uniquement le biais du ou de la journaliste, Colette Maze se dévalorise de nombreuses fois elle même ;
Je suis un peu paresseuse.
Je suis amenée à travailler tout le temps mon piano car ce n’est jamais assez bien. C’est bête, le soir je devrais en profiter pour écouter de la musique mais je ne le fais pas assez.
Je ne suis pas Beethovenienne, il est trop grand pour moi !
J’imagine mal un interprète masculin se présenté comme paresseux, pas très bon, incapable de se frotter à tel ou tel compositeur et présenté son choix par défaut. Bon il y a Didier Super mais c’est une posture humouristique et décalé que je trouve pas chez Colette Maze.
Pour pas accablé Colette Maze, cette femme de la grande bourgeoisie à quand même essayé de lutter contre son milieu, elle a refusé d’épouser le boucher macronien que ses parents avait choisi pour elle (le seul qui avait pas envoyer promené ses parents) et s’est finalement marié avec un vieux qu’elle n’aimait pas pour pas se faire lyncher par son milieu en raison du fait d’être mère célibataire... et à 103 ans elle sort un disque. Elle a l’air d’être en forme et heureuse, je suis contente pour elle.
#auto-dévalorisation #femmes #historicisation #amour