Monolecte 😷🤬

Fauteuse de merde 🐘 @Monolecte@framapiaf.org

  • Crystal meth : Fumer jusqu’à s’en briser | Magazin
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    Fumer ou s’injecter du crystal meth libère plus de dopamine – le neurotransmetteur du plaisir – que n’importe quelle activité : six fois plus que le sexe et douze fois plus que les petits plaisirs du quotidien (manger, faire du sport, écouter de la musique…) Le crystal meth diffuse très rapidement de la dopamine dans le système de récompense du cerveau, ce qui entraîne une euphorie intense, appelée « rush », très recherché par les consommateurs. Cet état ne dure que quelques minutes.

    « Ils bougent plus vite, parlent plus vite, leur cœur bat plus vite et ils voient et perçoivent les choses autour d’eux d’une manière totalement différente », explique Joshua Rosenthal. Dans certains cas, la crise cardiaque n’est pas loin. Un cœur sous méthamphétamine peut atteindre les 210 battements par minute, contre 60 à 80 battements par minute en moyenne.

    « C’est l’après qui est dur », avoue Stef. L’après, c’est la descente aux enfers : psychose, hallucinations, agressivité, insomnie, paranoïa… À la fin du « rush », les consommateurs se retrouvent déprimés et, surtout, en manque. Les personnes accro au crystal meth peuvent faire preuve d’une très grande agressivité voire de brutalité. Elles peuvent avoir des difficultés pour raisonner, pour avoir un jugement rationnel ainsi que pour éprouver de l’empathie.

    Consommer régulièrement de la méthamphétamine change la manière dont le cerveau fonctionne, réduit les fonctions motrices et endommage la capacité de mémorisation. Des études récentes réalisées chez des consommateurs réguliers ont révélé des changements fonctionnels et structurels dans les zones du cerveau associées aux émotions et à la mémoire.