• » Adnan Sentenced to One Year
    IMEMC News - October 30, 2018 5:58 AM
    http://imemc.org/article/adnan-sentenced-to-one-year

    The Israeli military court in Salem, north of the northern occupied West Bank district of Jenin, sentenced Palestinian detainee Khader Adnan to one year in prison, fined him 1,00 shekels ($270) and 18 months suspended sentence for five years, on Monday.

    Jawad Boulous, head of the legal department in the Palestinian Prisoner’s Society (PPS), said that the prison sentence starts from the day of his arrest on December 11th, 2017.

    Adnan, 40, a father of seven children, has been on an open hunger strike for 58 days and even stopped drinking water, as a form of protest against his “arbitrary” detention by Israel.

    Despite the sentence, it remained unclear whether Adnan suspended his open hunger strike or not, according to Ma’an.

    #Khader_Adnan

    • « Khader risque la mort, mais je soutiens son combat contre l’occupation »
      par Randa Musa, épouse du prisonnier politique palestinien Khader Adnan, et la mère de deux enfants.
      30 octobre 2018 – Middle East Eye – Traduction : Chronique de Palestine
      http://www.chroniquepalestine.com/khader-risque-la-mort-mais-je-soutiens-son-combat-contre-occupat

      (...) Troisième grande grève de la faim

      Mon mari risque la mort à tout moment pendant que j’écris ceci. Sa vie ne tient qu’à un fil. Personne ne sait combien de temps il lui reste à vivre.

      Khader a été emprisonné onze fois – à la fois par l’occupation israélienne et par l’Autorité palestinienne. Il a fait d’innombrables grèves de la faim de différentes durées pour se libérer des chaînes de l’injustice. Son courage à combattre les deux entités a fait de lui un ennemi des deux.

      Il s’agit de la troisième longue grève de la faim que mon mari bien-aimé a entreprise au cours des six dernières années. Il a été libéré des prisons israéliennes en 2012 après avoir refusé toute nourriture pendant 66 jours et en 2015 pour une durée de 56 jours. Khader est sorti victorieux les deux fois, et je suis convaincu qu’il le sera aussi cette fois-ci.

      Bien que nous soyons mariés depuis 2005, nous n’avons pas passé plus de cinq ans en présence physique l’un de l’autre.

      Lorsque je reçois un avis de message sur mon téléphone, je ressens une terrible angoisse jusqu’à ce que je lise ce qui est à l’écran. Je crains de recevoir la nouvelle de sa mort. Je me parle constamment. Je me dis : « Reste forte, Randa. » (...)