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« vivere vuol dire essere partigiani » Antonio Gramsci

  • Mélenchon bannit Cocq : les enseignements très politiques d’une querelle entre Insoumis
    https://www.marianne.net/politique/melenchon-bannit-cocq-les-enseignements-tres-politiques-d-une-querelle-ent

    Peu connu du grand public, François Cocq n’en est pas moins un compagnon de route historique de Jean-Luc Mélenchon, avec lequel il a participé à la fondation du Parti de gauche (PG) en 2008. Il a ensuite occupé de nombreuses fonctions de direction dans cette formation : secrétaire national à l’éducation, porte-parole de la campagne contre la réforme territoriale, puis à partir de 2015 président de l’association des élus du PG. Elu municipal à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) depuis 2008, ce quadragénaire au léger accent du sud est surtout l’un des moteurs de la « stratégie populiste » adoptée par Jean-Luc Mélenchon. Il est l’un de ceux qui a le plus poussé le tribun à abandonner les références à la gauche et à son union, pour lui préférer l’objectif de « fédérer le peuple ».

    A cette orientation, qui a apporté un franc succès à Jean-Luc Mélenchon lors de la campagne présidentielle 2017, François Cocq adjoint deux piliers de sa ligne politique : le souverainisme et la défense résolue de la laïcité, des positions sur lesquelles cet enseignant ne transige pas, quitte à paraître rigide aux yeux de ses détracteurs au sein de LFI. En août, il avait publié un long texte sur son blog dans laquelle il critiquait « le basculement stratégique » en cours dans le mouvement, s’inquiétant d’un retour à une tentative d’union de la gauche...