#publireportage #publicité #journalisme
Le journaliste nâa pas fait son travail en ne dĂ©nonçant pas lâexistence mĂȘme de doctolib, une plateforme privĂ© qui stocke des donnĂ©es confidentielles.
Il trouve mĂȘme des excuses risibles quâil met en dame blanche
Ce secteur rĂ©pond Ă des rĂšgles dĂ©ontologiques fortes quâun acteur privĂ© innovant nâintĂšgre pas forcĂ©ment pleinement
Mais oui, câest ça, cette pauvre #start_up de doctolib est Ă plaindre, elle est en fait trop moderne, si si bien entendu elle raconte ne rien comprendre aux donnĂ©es privĂ©es., câest beau comme du Zuckerberg !
En octobre dernier, des mĂ©decins attaquaient doctolib qui sâĂ©tait largement servi dans leurs fichiers, mais pour des raisons concurrentielles :/ Encore des histoires de fric
â»https://www.lejdd.fr/Societe/Sante/des-medecins-declarent-la-guerre-a-doctolib-3788729
De la « vente forcĂ©e » selon des mĂ©decins
Deux reproches sont plus particuliĂšrement faits Ă la plateforme.
Premier grief : les praticiens qui quittent Doctolib ont la surprise de toujours voir leurs noms y figurer. Ainsi, quand un patient les recherche, il les trouve mais est redirigĂ© vers un de leurs confrĂšres, qui lui a recours aux services de la plateforme. Pour Franck Chaumeil, il sâagit ni plus ni moins de « vente forcĂ©e ».
Second grief : tous les mĂ©decins de France, câest-Ă -dire ceux rĂ©pertoriĂ©s dans lâannuaire de lâOrdre de cette profession, figurent sur Doctolib. "Doctolib utilise lâOpendata pour pomper nos coordonnĂ©es, ce qui est lĂ©gal, sâagace Bertrand Legrand. Ce qui ne lâest pas, en revanche, câest que tous les mĂ©decins de France nâont pas consenti de maniĂšre explicite Ă se retrouver dans ce qui est plus un annuaire quâun agenda en ligne. Câest une grave violation du RGPD
Sauf que les mĂ©decins nâont pas dâovaires, sous le prĂ©texte fallacieux quâils sont surbookĂ©s ils refilent les donnĂ©es de leurs patients sans leur accord explicite. Je le sais pour lâavoir vĂ©cu Ă maintes reprisesmalgrĂ© ma demande de radiation de leurs fichiers. Il y a bien des syndicats de mĂ©decins mais jamais de syndicats pour ceux qui se font peler la laine sur le dos, ici les patient·es et des donnĂ©es confidentielles dont vont se repaitre les banques et les assureurs.
Jacques Lucas, le responsable du Conseil de lâOrdre des mĂ©decins en charge, a tentĂ© de siffler la fin de la controverse dans un tweet : « Il serait en effet difficile de soutenir que le mĂ©decin qui sâabonne Ă un service de prise de RDV en ligne le fait pour dĂ©tourner de la clientĂšle vers lui, alors mĂȘme que tous se disent surbookĂ©s. Il y a cependant une interrogation sur le rĂ©fĂ©rencement Google, en cours dâexamen. » Du cĂŽtĂ© des mĂ©decins, la colĂšre sâest dissipĂ©e. « #Doctolib a mis en Ćuvre un rĂ©fĂ©rencement plus respectueux de lâĂ©thique professionnelle des mĂ©decins », a ainsi tweetĂ© le docteur Bertrand Legrand. Fin du #Doctolibgate pour moi !"
#fichage_généralisé