Une flâneuse à la dérive
►https://aris.papatheodorou.net/une-flaneuse-a-la-derive
Mary Jones aime à se définir comme une « flâneuse ». Une flâneuse qui, au cours de ses dérives dans la ville de Des Moines, observe les lieux et les habitant⋅e⋅s, fait des photos, remplit des carnets d’esquisses, prend des notes, enregistre parfois aussi des sons. Une masse de matériaux bruts qu’elle assemble ensuite en images hybrides (collages, superpositions, sampling visuels) qui composent une sorte de cartographie personnelle, subjective, voir intime, de la cité et de ses marges.