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    • « Les femmes c’est comme les juments, celles qui ont de grosses hanches ne sont pas les plus agréables à monter, mais c’est celles qui mettent bas le plus facilement. »

      Le professeur Renaud De Tayrac, à l’origine de cette diapositive, a également publié un communiqué afin d’expliquer sa démarche. Selon lui, son intention n’était pas de provoquer ou de polémiquer, « mais de faire un rappel historique sur la vision de l’anatomie du bassin féminin et des difficultés de l’accouchement au Moyen-Âge. » Le chef du service Gynécologie Obstétrique Maternité du Pôle Femme-Enfant du CHU de Nîmes explique qu’il voulait tout simplement « démontrer au cours de la présentation qui suivait que les connaissances obstétricales avaient beaucoup progressé depuis ».

      https://www.marieclaire.fr/femmes-juments-congres-national-des-gynecologues-obstetriciens-de-france

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      L’argument des gyneco-obstericien·nes du manque de moyens, surcharge de travail, mauvais matériel est assez spécial. Par exemple celle qui parle des mauvais scalpels qui ne coupent pas, ne dénonce pas la mise en danger du·de la patient·e mais son inconfort de travail. Ces manques de moyens, mauvais materiel, surcharge de travail sont peut etre à l’origine du gros des violences gyneco, mais le refus des gyneco de dialogué montre qu’illes préfèrent se soumettre aux contraintes de l’administration que lutter pour le bien de leurs patients. Légiféré ca peu etre fait dans le sens d’une revalorisation de certains actes, d’une augmentation du temps consacré aux patientes.