NASA just made a stunning discovery about how fracking fuels global warming – ThinkProgress
▻https://thinkprogress.org/nasa-study-fracking-global-warming-0fa0c5b5f5c7
A new NASA study is one final nail in the coffin of the myth that natural gas is a climate solution, or a “bridge” from the dirtiest fossil fuels to low-carbon fuels like solar and wind.
NASA found that most of the huge rise in global methane emissions in the past decade is in fact from the fossil fuel industry–and that this rise is “substantially larger” than previously thought. And that means natural gas is, as many earlier studies have found, not a climate solution.
Selon les chercheurs, les émissions industrielles de #méthane sont 100 fois plus élevées que celles rapportées…
▻https://trustmyscience.com/emissions-industrielles-methane-100-fois-plus-elevees-que-estimation
L’équipe de recherche a équipé une voiture Street View de Google avec un capteur de méthane à haute précision et a découvert que les émissions de méthane des usines d’engrais à l’ammoniac sont 100 fois supérieures aux estimations autodéclarées de l’industrie des engrais.
Ces émissions sont donc bien supérieures aux estimations de l’Environmental Protection Agency (#EPA) concernant TOUS les processus industriels aux #États-Unis. « Nous avons pris le cas d’une petite industrie dont la plupart des gens n’ont jamais entendu parler et avons découvert que ses émissions de méthane étaient trois fois supérieures que ce que l’EPA supposait être émis par la production industrielle totale aux États-Unis », a déclaré John Albertson, co-auteur et professeur des droits civils et génie de l’environnement. « Cela nous montre qu’il y a un énorme écart entre les estimations divulguées au grand public, et les mesures du monde réel », a-t-il ajouté.
Au cours de ces dernières années, l’utilisation du #gaz_naturel a augmenté, notamment grâce à l’amélioration de l’efficacité de l’extraction du gaz et également car il est généralement pensé que le gaz naturel est un #combustible_fossile « moins nocif » à utiliser. « Mais le gaz naturel est principalement constitué de méthane, qui, molécule après molécule, possède un potentiel de réchauffement planétaire supérieur à celui du dioxyde de carbone », a déclaré Albertson. « La présence d’émissions ou de fuites importantes en tout point de la chaîne d’approvisionnement pourrait faire du gaz naturel un facteur plus important de changement climatique qu’on ne le pensait auparavant », a-t-il ajouté.