Un texte de Kajsa Ekis Ekman ("L’être et la marchandise", M Éditeur, Montréal, 2013) qui lui a valu pas mal d’ennuis en Suède où le néolibéralisme pèse beaucoup plus lourd que les droits des femmes qualifiées de « mères porteuses ». ►https://tradfem.wordpress.com/2019/08/11/toute-maternite-de-substitution-est-de-lexploitation-le-monde-dev