odilon

artiste aux mains pleines de doigts - visionscarto.net - Autrice de Bouts de bois (La Découverte)

  • Brésil : l’Amazonie brûle, le ciel de Sao Paolo noirci par les fumées des incendies
    https://www.francetvinfo.fr/monde/bresil/l-amazonie-brule-le-ciel-de-sao-paolo-noirci-par-les-fumees-des-incendi

    Une année meurtrière pour l’Amazonie. Les habitants de Sao Paulo, au Sud-Ouest du pays, ont été plongés dans l’obscurité en plein jour, lundi 19 août, par les fumées des #feux_de_forêt qui dévastent l’Amazonie depuis début juillet.[...]

    Entre janvier et août, 72 843 départs de feu ont été enregistrés dans le pays. En 2018, 39 759 incendies avaient été déclarés sur la totalité de l’année. Il s’agit d’un plus haut depuis 2013, selon l’INPE qui utilise des données par satellite actualisées en temps réel.

    L’Etat le plus touché est le Mato Grosso, au centre-ouest du pays et en pleine #Amazonie. Il comptabilise à lui seul 13 682 départs de #feu, soit une hausse de 87% par rapport à toute l’année 2018.
    Conséquence de la #déforestation

    Ces feux sont notamment provoqués par les #défrichements par #brûlis, utilisés pour transformer des aires forestières en zones de #culture et d’#élevage ou pour nettoyer des zones déjà déforestées. "

    #forêt #incendie

    • http://www.lefigaro.fr/sciences/le-bresil-prie-pour-la-foret-amazonienne-en-proie-aux-flammes-20190820

      Le 13 août dernier, le chercheur de la Nasa Santiago Gasso a souligné que les incendies successifs ont créé une couche de fumée couvrant une superficie d’environ 1,2 million de km², soit près de deux fois la superficie de la France. Ce sont ces épaisses fumées qui seraient, selon les météorologues, à l’origine de l’obscurité observée en pleine journée à Sao Paulo lundi. « La fumée ne provenait pas des incendies de l’État de Sao Paulo, mais de feux de forêts très denses et très étendus qui sont à l’oeuvre depuis plusieurs jours dans l’État de Rondonia et en Bolivie », a déclaré à O Globo Joselia Pegorim, une météorologue de Climatempo. « A Sao Paulo, il y a eu une combinaison d’un excès d’humidité et de l’arrivée de ces fumées qui a donné cette apparence au ciel », a-t-elle ajouté.