• La pedocriminalité de Simone de Beauvoir et des pontes de la « French theory »

    Avec la sortie des archives autour de Matzneff consécutive à la sortie du livre « Le Consentement » de Vanessa Springora ressort le nom de Simone de Beauvoir et de nombreux phallopsophes de la « French Theory » - Foucault, Deleuze, Derrida, Quaratti et le féminicide Althusser ainsi que Sartre pour qui Beauvoir semblait chasser des mineures

    J’avais deja relevé au milieu de mon premier poste sur les #grand_homme https://seenthis.net/messages/413241#message425819
    que Beauvoir avait été renvoyé de l’éducation nationale pour viol sur mineurs, applé « détournement de mineur » selon les qualifications de l’époque.

    foucault’s pedophilia

    jsyk that 1977 petition he signed calling for the repeal of several articles of the age of consent law and the decriminalization of all consensual relations between adults and minors below the age of fifteen was also signed by jean sartre, roland barthes, simonde de beauvoir and alain robbe-grillet. [x]

    i have not read the book in this review but i don’t have trouble believing it:

    For long periods, the couple became a “trio”, though the arrangement rarely worked out well for the third party: at least two of de Beauvoir’s former pupils found themselves becoming first her lover, then Sartre’s, only for the couple to close ranks against them once the fun wore off.

    Was de Beauvoir passing lovers on to Sartre - who enjoyed taking girls’ virginities, though he could muster little enthusiasm for the sex act itself - to ensure the continuance of his relationship with her?

    Seymour-Jones certainly thinks so, and she quotes various accounts to back up an increasingly monstrous vision of the couple. “Simone de Beauvoir was able to finish Sartre’s sentences and vice versa,” recounts the writer Olivier Todd. “There was even a kind of mimetism in their rasping voices.”

    For Seymour-Jones, de Beauvoir’s affairs with her students were not lesbian but paedophiliac in origin: she was “grooming” them for Sartre, a form of “child abuse” .

    http://www.telegraph.co.uk/culture/books/non_fictionreviews/3672534/Simone-de-Beauvoir-Meet-Jean-Paul-Sartre.html

    this was not just theoretical for them

    One of de Beauvoir’s students, who she ‘seduced’ and passed on to Sarte, wrote a memoir about the ‘affair’ - worth noting that she was not only 16 at the time, but Jewish: they dumped her during the Nazi occupation and apparently never showed any concern for her safety during the war. de Beauvoir lost her teaching license permanently in 1943 for ‘seducing’ another pupil. God knows how many there were.

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    Puisque elle est renvoyée de l’Education nationale en 1943 suite à un détournement de mineure. Situation qui ne semble pas être la première comme le relate Bianca Lambin dans ses mémoires. L’affaire se conclut sur un non-lieu, mais de Beauvoir est tout de même renvoyée car son mode de vie, les lectures qu’elle conseille aux élèves, comme A. Gide, apparaissent tout de même scandaleuses.

    https://iresmo.jimdofree.com/2019/08/07/simone-de-beauvoir-et-simone-weil-deux-enseignantes-de-philosophie
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    Beauvoir bisexuelle

    Elle s’en est défendu de son vivant mais Beauvoir a eu nombre de relations homosexuelles et notamment avec certaines de ses élèves. Peu avant la Seconde Guerre mondiale, elle est renvoyée du lycée Molière suite à une relation amoureuse avec l’une d’elles. En juin 1943, elle est suspendue de l’Éducation nationale après une plainte pour « excitation de mineure à la débauche ».

    https://www.terrafemina.com/societe/societe/articles/35891-google-doodle-simone-de-beauvoir-en-quatre-scandales.html
    banalisation des faits sur terrafémina et pourtant dans ce texte il y a un lien qui dénonce la banalisation de ce type de faits chez Cauzette.
    https://www.terrafemina.com/culture/medias/articles/27821-causette-sexcuse-pour-une-atteinte-sexuelle-devenue-passion-inter

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    Version proposé par wikipédia

    Elle est suspendue le 17 juin 1943 de l’Éducation nationale à la suite d’une plainte pour « excitation de mineure à la débauche » déposée en décembre 1941 par la mère d’une de ses élèves, Nathalie Sorokine (1921-1967). — La plainte aboutira à un non-lieu30 — ; l’incertitude sur la raison réelle de son éviction fait encore aujourd’hui polémique. Elle sera réintégrée à la Libération par arrêté du 30 juillet 1945, mais n’enseignera plus jamais31. Simone de Beauvoir décrit dans ses mémoires une relation de simple amitié avec cette élève. Elle écrit en outre que l’accusation de détournement de mineur, mensongère, est une vengeance de la mère de cette élève à la suite du refus que lui aurait opposé Simone de Beauvoir d’user de son influence auprès de sa fille pour lui faire accepter un mariage avec un « parti avantageux »32. Pourtant, la nature charnelle des relations qu’elle entretenait avec Nathalie Sorokine ne fait plus aucun doute aujourd’hui 33. En 1943, elle travaille pour Radio nationale (« Radio Vichy ») où elle organise des émissions consacrées à la musique à travers les époques. Elle s’installe avec Jean-Paul Sartre à l’hôtel La Louisiane34, à Saint Germain des Près en 1943 mais dispose de sa propre chambre, elle écrira « Jamais aucun de mes abris ne s’était tant approché de mes rêves ; j’envisageais d’y rester jusqu’à la fin de mes jours »35.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Simone_de_Beauvoir

    La source 33 de wikipédia qui sert de preuve à la nature sexuelle des faits repochés à Beauvoir est : Michel Onfray, Contre-histoire de la philosophie t.9, les consciences réfractaires, Paris, Grasset, 2013, 468 p. (ISBN 978-2-253-15652-9), p. 406-408
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    Sur la pétition de 1977

    Le Monde publie le 23 mai 1977 sous le titre « Un appel pour la révision du code pénal à propos des relations mineurs-adultes » des extraits d’une « Lettre ouverte à la Commission de révision du code pénal pour la révision de certains textes régissant les rapports entre adultes et mineurs »7 envoyée par 80 personnalités et intellectuels au Parlement français8,9. Cet appel réclame une réécriture des dispositions du code pénal concernant les relations sexuelles entre adultes et mineurs de quinze ans afin de les rendre moins strictes8,7.

    Le Monde reproduit les signatures de Louis Althusser , Jean-Paul Aron, Roland Barthes, André Baudry, Simone de Beauvoir , Jean-Claude Besret, Jean-Louis Bory, Bertrand Boulin, François Chatelet, Patrice Chéreau, Copi, Alain Cuny, Gilles Deleuze, Jacques Derrida, Françoise Dolto, Michel Foucault, Félix Guattari, Michel Leiris, Gabriel Matzneff, Bernard Muldworf, Christiane Rochefort, Alain Robbe-Grillet, Jean-Paul Sartre , le docteur Pierre Simon et Philippe Sollers8.

    La lettre a également été signée par Dennis Altman (en), Claude Bardos, le pasteur G. Berner, Christian Bourgeois, Christine Buci-Glucksmann, Jean-Pierre Colin, Dominique Desanti, Jean-Toussaint Desanti, Bernard Dort, Françoise d’Eaubonne, Philippe Gavi, André Glucksmann, Renaud Goyon, Daniel Guérin, Pierre Hahn, Jean-Luc Hennig, Christian Hennion, Guy Hocquenghem, Roland Jaccard, Pierre Klossowski, Anne Laborit, Madeleine Laïk, Georges Lapassade, Dominique Lecourt, Jacques Lefort, Michel Lobrot, Jean-François Lyotard, Michel Mardore, Dionys Mascolo, Gérard Molina, Vincent Monteil, Nicole Nicolas, Marc Pierret, Jacques Rancière, Claude et Olivier Revault d’Allonnes, Jean Ristat, Gilles Sandier, René Schérer, Victoria Thérame, Hélène Védrine et les Drs Frits Bernard, Boegner, Cabrol, Challou, Maurice Eme, Pierrette Garreau, R. Gentis, Michel Meignant, Jean Nicolas, Séguier, Torrubia7.

    #grooming #pedocriminalité

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    Il semble qu’une des élèves de Beauvoir ait écrit un livre
    http://dona-martin.blogg.org/simone-de-beauvoir-ou-les-memoires-d-une-jeune-fille-derangee-a12
    J’ai pas encore lu ce lien

    Bianca Bienenfeld est, à 17 ans, avec sa professeure de philosophie, Simone de Beauvoir, et le concubin de celle-ci, Jean-Paul Sartre, le troisième élément d’un trio (triangle), le trio de Paris, qui fait suite au trio de Rouen, constitué par le couple avec une autre jeune élève de philosophie de Simone de Beauvoir, Olga Kasakiewicz. Abus d’autorité ? Détournement ? Perversité ?

    Simone de Beauvoir, la « femme libérée », l’aristo-bourgeoise « affranchie », était-elle bien l’esclave pourvoyeuse de chaires fraîches de son « maître » macho ?

    Professeure agrégée de philosophie Bianca Bienenfeld, épouse Lamblin, est l’auteure de Mémoires d’une jeune fille dérangée, Balland, Paris, 1993.

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    Je me rends compte à présent que j’ai été victime des impulsions donjuanesques de Sartre et de la protection ambivalente et louche que leur accordait le Castor (notedt, Simone de Beauvoir). J’étais entrée dans un monde de relations complexes qui entraînaient des imbroglios lamentables, des calculs minables, de constants mensonges entre lesquels ils veillaient attentivement à ne pas s’embrouiller.
    J’ai découvert que Simone de Beauvoir puisait dans ses classes de jeunes filles une chair fraîche à laquelle elle goûtait avant de la refiler, ou faut-il dire plus grossièrement encore, de la rabattre sur Sartre.
    Tel est, en tout cas, le schéma selon lequel on peut comprendre aussi bien l’histoire d’Olga Kosakievicz que la mienne. Leur perversité était soigneusement cachée sous les dehors bonasses de Sartre et les apparences de sérieux et d’austérité du Castor. En fait, ils rejouaient avec vulgarité le modèle littéraire des Liaisons dangereuses.