• Portrait interne de l’industrie de « l’identité de genre | « TRADFEM
    https://tradfem.wordpress.com/2020/02/14/portrait-interne-de-lindustrie-de-lidentite-de-genre

    Jon Stryker, héritier d’une fortune médicale et fondateur de la Fondation Arcus, une ONG LGBT générée par la richesse de Stryker, était en train de construire une puissante infrastructure pour impulser la normalisation et l’institutionnalisation du transgenrisme, la première identité à caractère médical.

    En 2014, Time Magazine a publié une photo de couverture et un reportage sur l’acteur Laverne Cox, un homme se faisant passer pour une femme. Cox était présenté comme inaugurant un « point de basculement de l’identité transgenre ». Il avait manifestement subi de multiples opérations pour changer l’apparence de ses caractéristiques sexuelles secondaires et affichait une tenue culturellement attribuée aux femmes : cheveux longs, maquillage, une robe et des talons hauts. Bien que Cox était présenté comme la pièce à conviction d’un point de basculement transgenriste, avant cette date, le transgenrisme n’était pas au premier plan dans l’esprit de la plupart des gens. Il n’y avait donc rien d’évident qui précédait ce moment où un « point de bascule » aurait été atteint.

    Et pourtant, le transgenrisme fit soudainement son apparition partout – comme si quelque chose s’était produit en coulisses (c’était bien le cas). Six ans plus tard, nous avons des célébrités transgenres, des athlètes transgenres, des PDG transgenres, une couverture santé transgenre, des étudiants transgenres, un langage qui a émergé spécifiquement pour ces personnes, des lois réorganisant la réalité pour le reste du monde afin de les accommoder, de nouveaux programmes scolaires pour les enfants et adultes, de nouveaux protocoles médicaux, la disponibilité d’hormones, des bandages de poitrine, des prothèses péniennes, des camps de « genre » pour les jeunes, des agences de modeling et des produits de beauté, tout cela pour une fraction minuscule de la population dont la condition n’a aucune cause médicale connue.

    Le transgenrisme est la première « condition médicale » dont on dit qu’elle provoque une dysphorie corporelle intense chez beaucoup de gens (surtout par son impact sur des enfants), et qui est à la fois promu en tant qu’identité et célébré dans l’ensemble des cultures occidentales.

    C’est la première fois dans l’histoire qu’une dysphorie corporelle, quelle qu’elle soit, est présentée comme normale, positive et comme une identité médicale à célébrer, dans ce qui s’annonce comme une industrie prolifique de l’identité de genre. Les personnes qui s’identifient comme transgenres, les jeunes femmes qui ont subi volontairement une double mastectomie de seins en parfaite santé, sont utilisées dans des publicités d’entreprise, pour vendre de tout, des sous-vêtements à la crème à raser. Le cabinet Behemoth Law et des conglomérats médiatiques créent des mémoires d’amicus curiae et des guides de soutien juridique pour faciliter le processus de normalisation. Des avocats sont formés dans le monde entier et des organisations mondiales sont créées pour la tâche spécifique de normalisation de cette identité médicale.

    Kof kof, la description d’une femme trans qui a bien une vie sociale de femme puisqu’elle ne peut pas être identifiée, sauf dans ce genre d’écrits dont les informations sont sûrement très utiles mais qui sont indéfendables politiquement... Enfin, le meilleur moyen de discuter sereinement de tout ça, de dévoiler des éléments matérialistes sur ce changement social problématique, c’est bien de ne pas insulter des personnes...