• Tout le monde n’est pas d’accord avec vous, sachez-le !

      Merci Monsieur Goldman. Nous avons besoin de vous. Nous avons besoin de vos créations, de vos chansons, de vos textes. Revenez-nous. Vous avez fait danser nos pieds, pour finir, mais surtout, bien avant, vous nous avez fait grandir, doucement. Toute une génération et même plusieurs. Vos chansons disaient des choses sur nous et sur le monde. Elles étaient porteuses d’un message. Elles le sont toujours, mais je voudrais tant que vous nous reveniez avec un album contemporain. Comme l’était encore « En passant ». Je ne peux pas penser que nous n’ayez plus rien à dire. Il y aurait tant à dire et je suis certain - comment pourrait-il en être autrement - que cela vous démange. Car cela vous dérange. Non ?
      Osez, créez, partagez. Vous n’aurez aucune obligation. N’ayez pas peur des critiques. Vous n’avez plus rien à prouver, juste donner... Soyez vous-mêmes. Vous recevrez tant en retour. Je serais tellement curieux d’écouter les nouvelles chansons d’un JJG de 70 ans et plus, nouveau père et grand-père, vivant en Angleterre, à l’ère de l’internet 4.0, des virus inter-planétaires, de la guerre en Syrie, de la France de Macron, des changements climatiques, des réfugiés aux frontières greco-turques, etc.
      Vous me manquez. Je vous aime.

      (Un commentaire sur youtube)

    • Alors dans mon groupe de rock de mon école à Toulouse, les deux guitaristes, fans de métal, qui te faisaient le solo de Mister Crowley et Crazy Train les doigts dans le nez en concert, en même temps ils savaient par cœur tous les riffs des chansons de Goldman des années 80. (Je plaisante pas, et c’est pas un jugement de valeur : moi je pouvais te chanter par cœur tous les tubes de Claude François.)