ARNO*

Geek dilettante habitant une belle et grande propriété sur la Côte d’améthyste

  • Suicide d’une étudiante transgenre à #Montpellier : l’acte désespéré de Doona soulève émotion et polémiques
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/suicide-etudiante-transgenre-montpellier-acte-desespere

    Une étudiante transgenre de l’Université Paul Valéry Montpellier 3 s’est suicidée en se jetant sous un train, gare Saint-Roch, mercredi. Doona, 19 ans, étudiait en licence de psychologie et résidait à la cité universitaire Vert-Bois à Montpellier.

    Si les causes exactes de son suicide ne sont pas encore connues, cet acte désespéré fait suite à des tentatives précédentes, selon un courrier du syndicat étudiant SCUM envoyé ce jeudi matin au CROUS Occitanie.

    • C’est un syndicat étudiant, le SCUM, Syndicat de Combat Universitaire de Montpellier, qui est à l’origine de la polémique. Dans un courrier adressé ce jeudi au directeur du CROUS de Montpellier, il accuse.

      « Si les causes exactes de son suicide ne sont pas encore connues, ce geste fait suite à des tentatives précédentes dont vos services avaient été informés. Or, suite à la deuxième tentative de suicide, une assistante sociale du CROUS et un médecin scolaire étaient directement en lien avec Doona. (...). Nous aimerions aussi avoir rapidement des réponses sur un élément qui vous concerne tout particulièrement, en tant que directeur du CROUS de Montpellier - Occitanie. Il lui aurait été dit, lors de la réunion du mercredi 23 septembre, soit quelques heures avant son suicide, qu’elle ne pouvait plus tenter de mettre fin à ses jours, sous peine d’être expulsée de son logement. Nous espérons que le cynisme des assistantes sociales n’en est pas arrivé à ce point. Car une telle brutalité dans un moment de flottement, de questionnement et de crise existentielle d’un individu est tout bonnement inacceptable ».

      le graissage est du site de France 3

      #travail_social #crous

    • Sur Touiteur, des proches mettent aussi en cause l’accueil catastrophique du milieu médical lors de ses tentatives précédentes.

      Après, je ne suis jamais à l’aise avec ce type de positionnement : évoquer « les causes exactes de son suicide », pour immédiatement suggérer la responsabilité directe d’une assistance sociale, je trouve que c’est dangereux, et ici la tournure « Il lui aurait été dit… », c’est à la limite de la diffamation.