martin dufresne

traducteur proféministe et humoriste irrévérent au Québec

  • https://tradfem.wordpress.com/2020/10/23/barbara-kay-les-politiques-sportives-transgenristes-ont-jete-par-

    Les athlètes génétiquement masculins sont, en moyenne, 40 % plus lourds, 15 % plus rapides et 25 à 50 % plus forts que les athlètes nés de sexe féminin

    Un texte d’opinion de Barbara Kay, publié dans le National Post, le 23 octobre 2020

    ... CeCe Telfer a participé pendant trois ans à l’équipe masculine d’athlétisme de l’université Franklin Pierce avant d’effectuer une transition médicale au genre féminin et de rejoindre l’équipe féminine pour les saisons 2018-19 en salle et en plein air.

    Le respect du premier principe du sport – le fair-play – réunit les gens à travers le monde. L’enfer n’a pas de fureur comme les amateurs de sport qui sont témoins de tricheries systémiques. En parlant de cela : Cette odeur de brûlé ? C’est la gomme de la théorie du genre qui se heurte à la réalité biologique, alors que les conséquences de l’élargissement des politiques d’ « inclusion » des genres dans le sport a un effet visible sur nos terrains de jeu et nos podiums.

    Depuis 2015, le Comité International Olympique autorise les hommes biologiques qui se sont identifiés comme femmes pendant un an à participer à des compétitions sportives féminines, à condition qu’ils réduisent leur taux de testostérone à 10 nmol/l (nanomoles par litre).

    Cela demeure beaucoup élevé que la fourchette de testostérone des femmes, qui oscille entre 0,54 à 2,4 nmol/l. En tout état de cause, la testostérone n’est qu’un facteur parmi d’autres de l’avantage sportif masculin – et certainement pas, comme je l’explique ci-dessous, le plus significatif.

    Le 16 octobre, dans le cadre de la résolution d’une plainte pour violation des droits civils déposée par Concerned Women for America contre l’université Franklin Pierce dans le New Hampshire, le Bureau des droits civils du ministère américain de l’éducation a convenu que la politique d’inclusion et de sport des transgenres de cette université violait le titre IX de la loi américaine, qui interdit la discrimination fondée sur le sexe dans les programmes et activités éducatifs, y compris l’athlétisme. (...)