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L’espace d’un instant, et inversement.

  • « Ce ne sont pas les néonicotinoïdes qui vont résoudre le problème de la betterave » - Pollinis
    https://www.pollinis.org/publications/ce-ne-sont-pas-les-neonicotinoides-qui-vont-resoudre-le-probleme-de-la-betterave/?akid=5212.292009.4SvpLp&rd=1&t=13

    Le poids de la betterave dépend du nombre de jour en terre, et le prix d’achat très bas impose aux agriculteurs conventionnels de jouer la carte du rendement. Ils n’ont donc pas d’autre choix que de semer très tôt, dès la fin de l’hiver, vers le mois de février ou mars, ce qui expose ensuite les betteraves aux vols de pucerons qui ont lieu en avril.

    Dans votre région, la betterave sucrière en bio, produite sans pesticides de synthèse, a-t-elle été affectée par ce virus ?

    S. L. : Non, ici la betterave bio n’a pas été touchée par la jaunisse, à part peut-être un pied de temps en temps. Nos semis en bio ont lieu entre début, voire mi-avril, ils sont bien plus tardifs et ont donc lieu après les vols de pucerons, c’est sans doute l’une des raisons. Nous avons même pu observer des parcelles en bio parfaitement indemnes, à proximité de parcelles en conventionnel très atteintes.