RastaPopoulos

Développeur non-durable.

  • Un cas positif dans la classe du fils : on l’apprend uniquement en privé par le bouche à oreille des enfants sur whatsapp le vendredi soir ! Alors que le gosse testé mercredi à priori. Et qu’il était le dimanche d’avant avec d’autres camarades au parc, et que eux ont été prévenus entre parents en privé et les autres gosses aussi se sont fait testés. Sans aucune info du collège ! WTF… Email à l’asso de parents d’élève, et on sait pas quoi faire pour lundi (alors qu’évidemment avec la fin du trimestre, ya des contrôles tous les jours). Pfff…

    • #omerta (à l’Éducation nationale)

      Dans mon secteur témoignage d’une AVS dans une école privée. Plein de gamins absents (malades ?) mais aucun retour de la dirlo qui fait de la #rétention_d'information.

      A l’école du village, plus aucune communication entre les enseignantes et les parents. Ou alors vite fait pour dire que le petit fils (classe de CP) est un peu chiant en ce moment.

      Fait quelques signalements aux « Stylos rouges » quand j’ai eu des infos (septembre et octobre). Depuis le « reconfinement » plus rien ne filtre. Et comme nous sommes isolé·es ...

    • Ce genre de blagues, ça c’est calmé chez nous depuis le semi-confinement et l’amélioration de la chaine de testing... Mais le pompon est décerné à ces parents de louveteaux qui ont envoyé leur gamin au rassemblement du week-end, alors qu’ils attendaient les résultats de son test. Résultat, deux contaminations, heureusement que les chefs de meute ont suivi les directives de regrouper les gamins en petites unités. Deux heures après le démarrage de la journée, appel whatsapp paniqués des animateurs : venez chercher les gamins !

    • Après discussion avec les parents délégués : effectivement l’ARS + le collège ont fait le choix de n’alerter que les contacts « à risque », et aucune information générale aux autre familles.

      Or l’information circule toujours, par le bouche à oreille, whatsapp etc, sauf que du coup elle circule sans source, sans être assuré des détails réels (qui, depuis quand exactement, etc).

      Comme je l’ai répondu aux déléguées (et @sombre c’est marrant j’avais utilisé exactement le même terme que toi) :

      En effet, la rétention d’information est à priori toujours pire qu’une soi-disant panique qui découlerait d’une circulation claire et officielle de l’information. Car cela circule forcément par le bouche à oreille, sur les réseaux, etc, et là les gens, enfants et parents s’inquiètent plus que s’il y avait eu une information claire de la part de l’autorité « collège ».

      Si un enfant est positif de manière certaine, le collège devrait le dire aux familles de la même classe au minimum, en expliquant qui a pu être à risque mais aussi justement qui ne l’est pas pour les bonnes raisons, et ainsi tout le monde est au clair, rassuré, et sait quoi faire. Ce qui n’a pas été le cas ici, avec des parents (dont nous) inquiets de connaitre les détails de source sûre, et qui tentent tous de joindre la famille de l’enfant positif.

      Toujours la transparence et la pédagogie, plutôt qu’une liste réduite de « gens qui savent », et de l’info-rumeur qui circule en privé sans qu’on soit assuré des vrais détails et de ce qu’il faut faire.