ARNO*

Geek dilettante habitant une belle et grande propriété sur la Côte d’améthyste

  • Curieusement aujourd’hui, Le Figaro, Le Parisien, Le Monde, Valeurs actuelles, Joachim Son-Forget, Charles Consigny, Eugénie Bastié et Jean-Do Merchet semblent vouloir m’intéresser à un certain « général Pierre de Villiers ».

    Qu’est-ce que j’ai manqué ? Qui c’est ça ? Le Luxembourg nous a déclaré la guerre ? Pourquoi vous me faites chier un dimanche avec un général ?

    Il est mort ou quoi ?

    • Le général de Villiers pour « descendre » Marine Le Pen... - Challenges
      https://www.challenges.fr/politique/le-general-de-villiers-pour-descendre-marine-le-pen_740749

      Villiers prend toutefois la peine de réfuter cette accusation de « mollesse », il a conscience que, dans son électorat potentiel, elle peut s’avérer destructrice : « dès que vous cherchez à réunir, vous êtes souvent considéré comme un mou qui accepte tous les compromis ». Ce n’est donc pas son cas. La preuve ? Il ne dissimule pas sa terreur du « grand remplacement » de la société française par un univers islamique, reprenant ainsi à son compte le concept élaboré par l’écrivain Renaud Camus, concept exalté par les suprémacistes blancs d’où qu’ils viennent et d’où qu’ils soient.

    • « Général, nous voilà ! » : les éditocrates avec Pierre de Villiers
      https://www.acrimed.org/General-nous-voila-les-editocrates-avec-Pierre-de

      Si la prochaine élection présidentielle a lieu dans 18 mois, les chefferies médiatiques sont déjà sur le qui-vive. Jour après jour, ils pensent « élection ». Parce qu’ils appréhendent essentiellement la politique comme une course de petits chevaux électorale et parce que les crises politique, sanitaire, économique, et sociale ébranlent l’autorité d’un pouvoir qu’ils ont (très) majoritairement promu, les médiacrates se mettent en quête de potentiels prétendants. Rien d’étonnant, dès lors, à les voir construire les uns après les autres dans leurs médias la « présidentiabilité » d’une personnalité publique qui vend des livres pour « réparer la France » (c’est là le bandeau accolé par un éditeur malin au dernier livre de Pierre de Villiers). Que cette dernière soit un ancien militaire ne rend la tâche que plus affriolante. « La France, la droite en l’occurrence, cherche un homme providentiel, a un besoin d’autorité, et vous pourriez formidablement les incarner », résumait Laurence Ferrari dans un lapsus.