JANICE TURNER, dans THE TIMES : (...) Espérons que les médecins souriants qui posent avec des tissus mammaires d’adolescentes versés dans des bocaux à cornichons seront relégués aux poubelles de l’histoire, aux côtés d’autres délires collectifs médicaux comme le prétendu « syndrome des faux souvenirs » ou les lobotomies des années 1950. Et que les corps des filles, comme le révèle sombrement l’ouvrage courageux d’Abigail Shrier, cessent d’être des dommages collatéraux dans les guerres culturelles que livrent des adultes."
►https://tradfem.wordpress.com/2021/01/09/recension-de-irreversible-damage-dabigail-shrier