Tradfem

La collective TRADFEM est née en 2013 autour de plusieurs projets de traductions, en particulier le texte d’Andrea Dworkin « Je veux une trêve de 24 heures durant laquelle il n’y aura pas de viol ». Ce texte a été travaillé par un petit groupe de gens qui ont alors souhaité prolonger cette collaboration. Celle-ci s’est ensuite étendue avec l’arrivée de nouvelles personnes. Aujourd’hui (2016), la collective rassemble une dizaine de membres, qui ne sont pas nécessairement des professionnel.le.s de la traduction et qui s’y investissent selon leurs possibilités respectives. TRADFEM est mixte avec des personnes vivant en France, au Québec, en Espagne et en Allemagne.

  • #Berta_O._Garci : Des Espagnoles protestent contre l’enseignement de la procréation assistée par donneur
    https://tradfem.wordpress.com/2021/01/24/des-espagnoles-protestent-contre-lenseignement-de-la-procreation-

    Ce cours, inscrit à l’École des sciences sociales, est parrainé par la Banque Santander, avec des subventions pour couvrir une partie des frais d’inscription.

    Si le titre même du cours en question déclenche déjà toutes les alarmes (cette sorte de prédiction apocalyptique de style film du dimanche dans lequel il ne sera possible de naître qu’avec l’aide de donneurs de gamètes), un coup d’œil aux objectifs, au programme et aux activités pratiques du cours révèle la profonde inattention de l’Université Complutense à cette offre de cours.

    Je voudrais souligner les deux aspects suivants : d’une part, qu’elle est publique et donc, en principe, respectueuse de la législation actuelle, et d’autre part, qu’elle a mis en place un soi-disant plan d’égalité, engagé dans les droits humains, dont le principe d’égalité entre les femmes et les hommes et contre les stéréotypes sexistes, origine d’inégalités persistantes, comme on peut le lire dans ce plan.

    Version originale : https://elcomun.es/2021/01/23/utero-animal-la-complutense-insulta-a-las-mujeres