Les pathologies du #militantisme
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La violence sectaire au sein des groupes militants n’est pas nouvelle. Les années post-68 en témoignent : phallocratisme, homophobie, police des mœurs y faisaient des ravages.
#Société #domination #sexisme #manipulation #censure
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Je ne comprends pas la deuxième phrase de ce texte. Il semble bien que les militantes ont été aux premières lignes de cette critique du machisme d’extrême-gauche.
Pourtant cette phrase se lit « Depuis quelques mois, des voix s’élèvent pour témoigner de la violence des relations interpersonnelles ou intergroupes au sein du milieu militant de gauche, notamment féministe. »
Le mot « féministe » ne devrait-il pas être au pluriel ? En effet, ce sont les voix des femmes qui ont porté cette critique dans un milieu qui était tout sauf féministe, justement.
Ça parle de l’extrême gauche pour le passé, pour ce qui est de maintenant moi j’avais plutôt compris que si si ça parlait bien du fait qu’en ce moment ya des critiques sur les violences relationnelles dans les féminismes. Par ex entre féminismes matérialistes et de l’identité, ou sur la prostitution, ou même à l’intérieur d’un groupe précis (le
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Çca me semble tout de même assez fort que des hommes de gauche s’appuient sur l’anti-phallocratie des femmes qui ont fait rendre des comptes à la gauche des années 70 - notamment à propos de ses violences relationnelles au sujet du purisme - pour retourner la critique en doigt de gant (ou d’honneur) et taxer les féministes actuelles de « violences relationnelles » au sujet de leurs désaccords théoriques réels. Le projet universaliste de la gauche semble alive and well.