Sombre

“Only the mob and the elite can be attracted by the momentum of totalitarianism itself. The masses have to be won by propaganda.” (Hannah Arendt) IN GIRUM IMUS NOCTE ECCE ET CONSUMIMUR IGNI

  • Le #survivalisme : un divertissement, un hobby pour #néo-nazis :

    https://www.francetvinfo.fr/sciences/astronomie/fin-du-monde/cest-une-passion-du-scoutisme-pour-adultes-le-ras-le-bol-des-survivalis

    Le survivalisme n’est pas un ami très présentable

    Il faut dire que dès ses origines, le survivalisme n’est pas un ami franchement présentable. Ne serait-ce qu’en raison de la personnalité de Kurt Saxon, qui théorise le mouvement dans les années 1960 (NDLR : la paternité du mot est incertaine, mais l’importance de Kurt Saxon, dans l’émergence et la popularisation du concept, fait relativement consensus).

    Kurt Saxon, Donald Eugene Sisco de son vrai nom, est ainsi membre du Parti nazi américain, de la John Birch Society, un mouvement d’extrême droite américain, de l’Église de Satan puis, enfin, de la scientologie. Le libertarien prétend alors former les Wasp (White anglo-saxon protestant) à s’imposer et dominer ceux qu’ils considèrent comme les ennemis du peuple. Avec, parmi eux, en premier lieu, évidemment les communistes, anarchistes et autres gauchistes, mais aussi les toxicomanes et les étudiants. En termes d’ascendance, on a connu plus séduisant... Cette dernière est quasi unanimement rejetée de nos jours par l’immense majorité des néo-survivalistes, notamment français, qui y voient davantage une pratique axée sur l’autonomie et l’indépendance vis-à-vis du système économique et des infrastructures étatiques, proche de la nature.

    #libertarianisme #paranoïa #effondrisme #collapsologie (en tant que #pseudo-science tout comme la #pensée_positive)