Le progrès en marche
Les mecs à deux doigts d’inventer le tram… mais avec pas de places pour les gosses, les courses, la poussette, le vélo…
Le progrès en marche
Les mecs à deux doigts d’inventer le tram… mais avec pas de places pour les gosses, les courses, la poussette, le vélo…
Petit, j’étais dingue du petit train du parking de la Fnac Montparnasse (1977-1979, si j’ai bien suivi) :
Par contre j’ai jamais connu l’ARAMIS
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Aramis_(RATP)
Aramis (acronyme d’Agencement en rames automatisées de modules indépendants en stations) est un projet avorté de métro léger entièrement automatique, développé entre 1970 et 1987 par la Régie autonome des transports parisiens (RATP) et Matra Transport.
Le projet concerne d’abord un taxi robot — En anglais, Personal Rapid Transit (PRT) pour « transport rapide personnalisé » —, puis un mini-métro intégralement automatique et de gabarit plus réduit que le véhicule automatique léger (VAL). Il prévoit la mise en circulation de modules à roulement sur pneumatiques pouvant embarquer dix passagers, fonctionnant de façon indépendante mais pouvant former des rames lorsque leur itinéraire converge. La destination et l’interaction des modules est prévue par un système entièrement automatisé.
Une technologie simple: le VEC - Marcel Kadosch
▻http://www.marcel-kadosch.eu/un-people-mover-simple-le-vec
Nous avons expérimenté tout d’abord dans notre atelier en 1970 un people mover VEC, dont le véhicule était une sorte de canapé à trois places qui défilait latéralement à travers la station d’embarquement, porté par une courroie animée d’une vitesse de 0,35 mètre par seconde.
Si une personne montait dans le véhicule en posant le pied sur le marchepied, celui-ci basculait, provoquant un arrêt, et la personne s’asseyait dans le véhicule immobilisé ainsi, mais qui repartait aussitôt que la personne libérait le marchepied en s’asseyant.
Le VEC expérimental ainsi construit a été mis en service pendant deux mois en 1972 à titre démonstratif sur la dalle de la Défense.
L’installation du VEC à La Défense consistait en une galerie de 170 mètres reliant deux abris de station, couvrant un convoyeur mu par des moteurs électriques linéaires, transportant d’un terminal à l’autre des véhicules de trois places. Dans les stations à chaque extrémité, on avait disposé une plaque tournante pour le retournement des véhicules du quai d’arrivée au quai de départ dans l’autre sens situé en face, et un caisson de retournement de la chaîne de convoyeur formant une boucle.
En fait, les macronistes sont des réincarnations de giscardiens !
Il y a aussi ça, dans le genre futuriste d’avant-hier :
Vu un commentaire :
« première photo d’un trou du cul dans un suppositoire ».