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  • Ortega ne veut pas lâcher prise : les intérêts non négociables du régime (plus « Lettre aux camarades de France solidaires avec le Nicaragua »)
    « Le 17 mai, je fêterai un mois de siège ininterrompu de ma maison par la police nationale. Entre six et huit policiers, parfois en civil, parfois en uniforme, arrivent chaque jour de 6 heures du matin jusqu’à midi ou jusqu’en fin d’après-midi. L’ordre est de ne pas me laisser sortir de la maison, d’interroger tous ceux qui arrivent et de signaler mes déplacements », raconte le politologue Guillermo Incer Medina, membre du front d’opposition Unité nationale bleue et blanche, dans le dernier numéro de Revista Envío (V-21).

    La dernière modalité répressive du régime de Daniel Ortega et Rosario Murillo est celle de la « maison comme prison », une situation que subissent au moins 600 personnes identifiées à l’opposition. « Ceux d’entre nous qui vivent sous le coup d’une assignation à résidence dictée par la police subissent des dommages psychologiques, économiques et sociaux », considère Guillermo Incer Medina dans son article.

    https://entreleslignesentrelesmots.blog/2021/07/01/ortega-ne-veut-pas-lacher-prise-les-interets-non-negoci

    #international #nicaragua