#Helen_Joyce : Pourquoi je crois que laisser des athlètes qui ont grandi en tant qu’hommes concourir dans des sports féminins provoquera une réaction négative du public
▻https://tradfem.wordpress.com/2021/07/11/pourquoi-je-crois-que-laisser-des-athletes-qui-ont-grandi-en-tant
Dans un nouveau livre percutant sur l’un des sujets les plus controversés de la société contemporaine, Helen Joyce, journaliste senior pour The Economist, affirme que « l’auto-identification sexuelle » est décrite à tort comme la bataille des droits civiques de la présente génération. Dans cette deuxième partie de notre série, amorcée le 3 juillet avec l’article “Why it’s wrong – and profoundly damaging – to make us all agree that someone is whatever gender they say they are” (▻https://www.dailymail.co.uk/news/article-9753017/HELEN-JOYCE-argues-gender-self-identification-lobby-harming-children-wo), elle affirme que le retour de bâton a déjà commencé dans le sport féminin.
Chaque année, dans presque toutes les disciplines sportives, des hommes battent des milliers de fois le record du monde féminin. Le temps le plus rapide jamais réalisé par une femme sur 400 mètres est battu plus de 15 000 fois chaque année par des hommes et des garçons. Au tennis, le service le plus rapide enregistré par un homme est de 263 km/h ; par une femme, il est de 204 km/h.
L’homme adulte moyen a 41 % de masse corporelle non grasse (sang, os, muscles, etc.) de plus que la femme moyenne, 50 % de masse musculaire en plus dans les jambes et 75 % dans les bras.
Traduit par #TRADFEM
VERSION ORIGINALE : ▻https://www.dailymail.co.uk/news/article-9775491/HELEN-JOYCE-Letting-athletes-grew-men-compete-womens-sports-cause-publi