• Le réchauffement climatique, une belle excuse !
    A celles et ceux qui, depuis des années, détricotent les services publics :
    la protection civile, les pompiers, les soins de santé, et tout le reste…

    A celles et ceux qui trouvent utile de bétonner à tout-va, de couper les arbres, à ceux qui laissent construire en zones inondables, qui parlent de « croissance verte » quand il faudrait envisager la décroissance, et comprendre que le capitalisme libre et sans entrave détruit la planète et ses habitants.

    Aux crapules qui gagnent plus qu’il n’est possible de dépenser en cent vies, et qui, insatiables, veulent toujours plus, et à ceux qui les laissent faire.

    A celles et ceux qui hurlent à la dette quand il faut investir dans le bien commun, mais pour qui cette dette n’est jamais évoquée lorsqu’il faut acheter des avions de guerre ou faire d’immenses cadeaux fiscaux aux multinationales.

    A tous ceux-là, à toutes celles là il n’y a qu’une réponse à donner.

    Source : https://www.facebook.com/groups/batiamourtsou/posts/10159341025446125

    #climat #environnement #changement_climatique 

    • Inondations : ceci n’est pas une catastrophe naturelle (carte blanche) Daniel Tanuro
      https://www.levif.be/actualite/environnement/inondations-ceci-n-est-pas-une-catastrophe-naturelle-carte-blanche/article-opinion-1449355.html?cookie_check=1626765882

      Dans les prochains jours, on entendra les gouvernants jurer la main sur le coeur que les inondations dramatiques les confortent dans leur volonté de verdir le capitalisme, que l’Union Européenne est à l’avant-garde et que tout irait mieux si les autres pays du monde suivaient son exemple. La leçon N°4 est de ne pas laisser les gouvernements nous endormir avec ce discours. Le capitalisme vert est un leurre. Le plan climat de l’Union Européenne est truffé de fausses solutions (planter des arbres), de tours de passe-passe (ne pas comptabiliser les émissions du transport aérien et maritime mondial), de technologies dangereuses (la capture-séquestration du carbone, le nucléaire, les cultures énergétiques sur des millions d’hectares), de nouvelles injustices coloniales vis-à-vis du Sud (les « compensations carbone », les taxes aux frontières de l’UE), et de nouvelles mesures de marché antisociales (le paiement de droits d’émission du carbone dans les secteurs de la construction et de la mobilité, que les entreprises répercuteront sur les consommateurs/trices). Le vrai but de ce plan est de tenter la quadrature du cercle : combiner la croissance capitaliste et la stabilisation du climat. Son non-dit est le projet insensé d’un « dépassement temporaire » du seuil de 1,5°C de réchauffement, compensé ultérieurement par un hypothétique « refroidissement » technologique de la planète. Provoquées par un réchauffement de 1,1°C, les inondations en Belgique et en Allemagne, ainsi que les autres catastrophes aux quatre coins du globe, laissent imaginer les conséquences cauchemardesques de ce « dépassement temporaire ».

    • Réforme de la protection civile : « Les 11 millions de Belges seront mal protégés » 18 décembre 2017
      https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_reforme-de-la-protection-civile-les-11-millions-de-belges-seront-mal-pro

      Des agents de la protection civile - organe qui s’occupe de porter secours lors de petites et grandes catastrophe - défilaient ce lundi à Bruxelles. Ils manifestaient contre l’annonce de la fermeture de plusieurs casernes dans le pays et la diminution de personnel. Ils soulignent par ailleurs le risque que cette réforme présente pour la sécurité des citoyens. 


      Les manifestants se sont donnés rendez-vous à 12h30 gare centrale, avant de se rendre place Fontainas et à la station Maelbeek, où plusieurs agents ont participé aux opérations de secours lors des attentats du 22 mars 2016.

      En avril dernier, le ministre de l’Intérieur Jan Jambon a confirmé la fermeture définitive de quatre casernes de la protection civile d’ici la fin de la décennie. Seuls subsisteront les deux postes avancés de Crisnée (en Wallonie) et de Brasschaat (en Flandre), qui verront leurs moyens humains et matériel renforcés. Les casernes de Ghlin, de Libramont, de Jabbeke et de Liedekerke passeront donc à la trappe.
      « On veut prévenir que les 11 millions de Belges seront mal protégés suite à cette réforme » , déclare Alex Neuprez, adjudant de la protection civile à Ghlin et délégué CGSP. « Avec cette diminution de casernes, on augmente considérablement le temps de trajet des équipes pour arriver sur un lieu de catastrophe. »
      Réduction des effectifs
      La réforme prévoit également une réduction des effectifs qui, d’après nos informations, pourrait atteindre 30%, en partie via un plan de prépensions, une autre via des réaffectations dans des zones de secours. « On ne peut pas jouer comme ça sur la protection des citoyens », réagit Alex Neuprez, « d’autant que la protection civile ne représente déjà que 450 personnes. Ce n’est franchement pas excessif ».
      Par ailleurs, ajoute le délégué CGSP, « après les attentats de Maelbeek, où nous étions présents, le Premier ministre est venu nous serrer la main. Un an plus tard, on annonce des coupes chez nous. On a l’impression que les ministres oublient ce qu’on a fait ». 
      Une réunion avec le secrétaire général de la CGSP est également prévue à 13h30.

    • 20 Juil Protection Civile Publié à 23:17h dans bulle-Luke par par Lukǝ
      https://www.asymptomatique.be/protection-civile/?shared=email&msg=fail

      « La réforme de la protection civile élaborée en 2017 – et entrée en vigueur en 2019 – sous le gouvernement de Charles Michel (MR), par celui qui était encore son ministre de l’Intérieur, Jan Jambon (N-VA), avait suscité de lourdes critiques de la part de la protection civile à l’époque. Pour rappel, cette réforme a supprimé plusieurs casernes (quatre sur six) qui se trouvaient un peu partout sur le territoire belge. Seules celles de Brasschaat (province d’Anvers) et de Crisnée (province de Liège) ont été conservées. Les effectifs ont été réduits et certaines missions de la protection civile ont été stoppées. La distribution de sacs de sable lors d’inondations, notamment. » (La Libre, 16 juillet 2021).

      Aujourd’hui, Charles Michel a observé une minute de silence en hommage aux victimes des inondations.
      Non, rien…

      #charles_michel président du #Conseil_européen de l’#ue , organisateur du #désastre