Les arguments en faveur des vaccins évoluent donc.
1. D’abord, il était efficace à plus de 95%, n’avait aucun effet secondaire, et il empêchait l’infection et la transmission.
2. Puis son efficacité a été revue à la baisse.
3. Puis on a découvert qu’il n’empêchait ni infection ni transmission.
4. On nous a alors dit qu’il empêchait seulement les formes graves et qu’il permettait d’atteindre l’immunité de groupe.
5. Puis on a vu s’accumuler des déclarations d’effets secondaires nocifs mais les “autorités” nous ont assuré qu’il n’y avait aucun rapport de cause à effet.
6. Puis on a reconnu du bout des lèvres qu’il y avait en effet des effets nocifs (myocardites/AVC/zonas/allergies..) mais qu’ils étaient statistiquement négligeables.
7. Puis on a découvert que l’efficacité baissait rapidement, au point qu’il faut injecter une 3ème dose au bout de 8 mois.
8. Puis on a découvert que la pandémie flambait dans les pays les plus vaccinés (Israël, Islande, Seychelles, Royaume-Uni…).
9. Puis les autorités de ces pays ont commencé à déclarer que l’immunité de groupe ne pouvait pas être atteinte par le vaccin mais par l’immunité naturelle.
10. Puis on a découvert des double-vaccinés qui souffrent de formes graves et même en meurent.
11. On nous alors a expliqué alors que les double-vaccinés :
• ont statistiquement beaucoup moins de formes graves que les non-vaccinés
• lorsqu’ils meurent de la Covid 19, c’est en souffrant moins.
CONCLUSION
Le narratif change sans cesse sur les bienfaits des vaccins Pfizer et Moderna, mais il ne change jamais pour :
• les vaccins russe, chinois, cubain et français (Valneva), qui restent interdits dans l’Union européenne
• les traitements, dont l’Ivermectine, qui restent interdits malgré l’accumulation d’études positives.
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