sables mouvements sans fond _
vois la beauté inacceptable de vivre
j’étais là-bas-loin du monde et les couvreurs
avaient œuvré certainement le ciel passait bleu
deux heures après comme blanchi over the moor
les toits se comptent entre eux ils sont tous là
c’est tourné vers les pentes cardinales du jour
un doré pâle se précipite ici ou là
sur les lignes de hasard de la distance
à finir nous connaître comme peu ce fut -t’ans
exquis de ce parallèle au plus près parfois
des signes qui nous habitent et possèdent
ce dernier-ci dont le reflet nous déboute
« Ton défaut même, ton vice, peuvent t’aider,
s’ils sont tiens. » vois la fin, tu te tiens sur le seuil
c] bituur esztreym aka e-m gabalda, 2021, LAL1.3.