Je me suis mal fait comprendre.
Je ne traite personne de « feminazie »,
Pour moi, les gens qui attaquent nommément des féministes (comme Kathleen Stock, Helen Joyce ou Julie Bindel, par exemple) et qui tentent de les faire vider des universités ou de saboter les défilés explicitement féministes sont des antiféministes. Je ne les étiquette pas de quelque droit divin mais en me basant sur leurs choix de cibles, leurs alliances avec le lobby proxénète, et leurs propos.
Si j’ai comparé ces personnes (qui sont majoritairement des hommes) aux nazis des années 30, c’est qu’ils et elles reprennent exactement les mêmes méthodes : purges des facultés universitaires, autodafés, appels à la censure, menaces personnelles, etc. Lisez Klaus Theweilet ("Fantasmâlegories" L’Arche) à ce sujet.
Le fait que certain-e-s de ces nervis transactivistes se disent « féministes » ne devrait pas faire illusion ou nous bâillonner à propos de leur misogynie antiféministe.
Je comprends bien que ce n’est pas à un homme de départager les féministes de ceux et celles qui prétendent l’être (tactiquement, afin de prétendre parler au nom de certaines femmes), mais leurs propos et leurs actions ne permettent pas de faire illusion. Et les féministes matérialistes ne s’y trompent pas.
Merci de m’avoir aidé à éclaircir mon propos.
En toute solidarité,
martin