marielle 🐢

« vivere vuol dire essere partigiani » Antonio Gramsci

  • « On lit cet article avec la boule au ventre et la rage contre ce gouvernement d’incapables et d’arrogants concentré sur ses petites stratégies électoralistes de complicité avec l’extrême-droite pendant que les services publics meurent en silence. »
    https://www.liberation.fr/societe/sante/departs-de-soignants-de-lhopital-public-tout-ce-devouement-toxique-devait

    Lassés des conditions de travail déplorables, de nombreux soignants ont décidé en cette rentrée de faire une pause, voire de démissionner de leurs fonctions. Ils témoignent de leur désarroi à « Libération ».

    A quoi ça tient, le choix du renoncement ? Celui qui s’impose malgré la vocation tenace, les heures engagées et l’attachement indélébile à l’hôpital public ? Lydie (1), infirmière de 41 ans, a plusieurs mois ruminé la question. « En fait, il n’y a pas eu d’événement de bascule, de situation dramatique qui m’a fait dire dans un fracas “stop, c’est fini, j’arrête tout”, démêle-t-elle aujourd’hui. J’ai juste vu les choses se dégrader petit à petit, et quand le sentiment de ne plus être à ma place est devenu insoutenable, je me suis tout simplement sauvée. » En août, Lydie a quitté le petit centre hospitalier de Bourgogne-Franche-Comté au sein duquel elle bossait depuis vingt ans.

    Une délivrance remplie d’amertume. Postée en horaires de nuit dans l’unité d’hospitalisation de courte durée, elle y avait tout donné – son temps, son corps, sa vie privée. « Les conditions de travail n’étaient déjà pas optimales, mais rien n’est allé en s’arrangeant. Je me suis mise progressivement à soigner dans l’empressement, avec l’effectif habituel pour toujours plus de patients. A devoir badger à l’entrée de mon établissement, comme si j’étais le pion numéroté d’un travail à la chaîne. A avoir la boule au ventre en allant au travail, et de plus en plus mauvaise conscience, car je savais que je ne donnais plus l’attention et les soins que méritait chaque patient », énumère-t-elle.

    La nuit, pour un service de trente lits, Lydie a fini par se retrouver avec une seule binôme. ..

    #paywall

    • Taiwan suspend la 2e dose Pfizer pour les 12-17 ans en attendant des études plus poussées sur le risque multiplié par 10 de faire des myocardites à la 2e dose.

      La science, le recul, tout ça....

      https://taiwannews.com.tw/en/news/4340862

      TAIPEI (Taiwan News) — Central Epidemic Command Center (CECC) head Chen Shih-chung (陳時中) said on Wednesday (Nov. 10) that a panel of experts has decided to suspend administering second doses of the Pfizer-BioNTech (BNT) COVID vaccine to children 12-17 years old amid concerns it may increase the risk of myocarditis.

      Cases of myocarditis (inflammation of the heart muscle) and pericarditis (inflammation of the outer lining of the heart) have been reported after BNT vaccination of children between 12 and 17 years of age. According to U.S. statistics, the risk of youths experiencing myocarditis after receiving the second BNT dose is 10 times higher than after the first dose, CNA reported.

      Some countries have adjusted their policies regarding administering COVID-19 vaccines to adolescents. For instance, Hong Kong has changed from two doses of BNT to only a single dose for those aged 12-17. The U.K. has done something similar, recommending only one shot for children between 12 and 18 years of age, per CNA.

      Chen said that the Ministry of Health and Welfare’s Advisory Committee for Immunization Practices (ACIP) has decided to halt administration of second BNT doses to this age group for two weeks, during which time experts and Centers for Disease Control (CDC) physicians will look at the 16 cases of myocarditis among adolescents after BNT vaccination before making a final decision on whether to go ahead with the second shot.

      International data will also be consulted before the final decision is made, the CECC head said, adding that currently, children between the ages of 12-17 are being vaccinated with two doses worldwide except in Hong Kong and the U.K.

      As for whether COVID-19 vaccines will be approved for children aged 5-11, Chen said the matter will not be considered until the second dose issue with 12 to 17-year-olds is settled.