Le soulèvement irakien de 2019 et l’imaginaire féministe
Dans la « montagne Uhud » [1] – un grand bâtiment abandonné de la place Tahrir, dans le centre de Bagdad, qui fait face à la zone verte – les jeunes manifestants, hommes et femmes, qui avaient investi le bâtiment, ont scandé Inryd watan (Nous voulons un pays) et Nazel akhuz haqqy (Je descends pour prendre mes droits). Depuis le point culminant des manifestations de rue en octobre 2019, la place Tahrir, dans le centre de Bagdad, et plusieurs autres places principales du pays, avaient été occupées par des manifestants. À partir du 25 octobre 2019 et pendant une période de plus d’un an, ils ont réussi à garder le contrôle de ces places, où ils ont établi des sociétés idéales miniatures.
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