Il y a une odeur de lèse-majesté dans certains des arguments exprimés pour pérenniser l’art des agresseurs de femmes et d’enfants. Faudra-t-il mettre du soufre dans les curriculum vitae pour les mettre à l’abri de la vindicte populaire ?
traducteur proféministe et humoriste irrévérent au Québec