Gabriel Attal, sur le projet du futur candidat Macron : « On veut aussi poursuivre la redéfinition de notre #contrat-social, avec des devoirs qui passent avant les droits, du respect de l’autorité aux prestations sociales. » #LesDevoirsAvantLesDroits
Attal, l’archétype du parvenu, _le sniper de la #Macronie_, "sceptique", samedi dans le Parisien payant, sur l’utilité d’un débat pour Macron avant le premier tour. [ pour cause de bilan lamentable et indéfendable ! ]
Comme toujours avec cette bande désorganisée de #tyrans-infantiles, il fallait payer pour lire les propos hallucinants d’Attal qui joue le rôle de porte-parole de la campagne non-déclarée de Macron avec de l’argent public.
Propos que j’ai pu retrouver ici :
▻https://www.bfmtv.com/politique/elections/presidentielle/gabriel-attal-sceptique-sur-l-utilite-d-un-debat-pour-macron-avant-le-premier
Gabriel Attal estime qu’un débat télévisé avant le premier tour "montrerait un manque d’exigence démocratique". S’il est organisé, la participation d’Emmanuel Macron n’est "pas d’actualité".
"Le président a toujours montré son intérêt pour la confrontation d’idées. Mais à quoi ressemblerait ce débat de premier tour ? Douze candidats cherchant pendant 1h50 leur ’moment’ avec le président, qui aurait dix minutes pour leur répondre. Je suis sceptique face à un tel format qui montrerait surtout un manque d’exigence démocratique", estime ce proche du président sortant dans un entretien mis en ligne samedi soir.
Alors que les oppositions poussent Emmanuel Macron à annoncer enfin sa candidature pour que la campagne démarre vraiment, Gabriel Attal estime que "l’absence de débat est le fait des candidats déclarés" qui "installent une campagne de morts-vivants".
Il accuse les oppositions d’avoir une vision noire et pessimiste d’une France où « tout était mieux avant ».
"À les écouter, tout était mieux hier et tout sera pire demain. Où est la foi dans les Français ? Notre pays regorge de créativité, d’audace. Emmanuel Macron a fait entrer notre pays dans le temps des conquêtes. Quand la situation sanitaire et internationale le permettra, il proposera, je l’espère, d’aller plus loin encore pour l’avenir ", insiste-t-il, sans s’avancer quand le chef de l’Etat pourrait descendre dans l’arène.
Pour ce qui est du projet du futur candidat Macron, le porte-parole dit, sans plus de précisions : "dans l’après-Covid, on veut continuer à réinventer notre modèle productif par l’investissement, la compétitivité, la décarbonation. On veut aussi poursuivre la redéfinition de notre contrat social, avec des devoirs qui passent avant les droits, du respect de l’autorité aux prestations sociales ."
Concernant les adversaires politiques, ce sniper de la macronie estime que " les partis de gauche sont au bout d’un cycle" et qu’à droite, "il y a un mercato entre LR, le RN et Zemmour", un "match à trois" qui "s’est transformé en triangle des Bermudes "