« Si vous doutez que les projets de Macron et ses clones d’allonger le temps de travail des pauvres pour compenser les cadeaux fiscaux aux riches ne reposent que sur un tissu de mensonges, vous devriez lire cet article de Libé. »
#MacronDehorsDesLePremierTour
▻https://twitter.com/realmarcel1/status/1512077709987393555?cxt=HHwWpsCtic-q_fspAAAA
▻https://www.liberation.fr/politique/elections/retraites-a-droite-et-a-lextreme-droite-une-reforme-a-lantienne-20220406_
Sur ce sujet au moins, les choses auront été posées plutôt clairement durant la campagne présidentielle. Il n’y a pas un candidat qui ne se soit pas positionné sur l’âge légal de départ en retraite – aspect auquel est bien souvent réduit un sujet pourtant bien plus vaste. A gauche, Jean-Luc Mélenchon, Nathalie Arthaud et Philippe Poutou défendent un retour à la retraite à 60 ans. A droite et à l’extrême droite, trois candidats affirment au contraire qu’« il va falloir travailler plus longtemps », et défendent un nouveau report de l’âge légal de départ : de 62 à 64 ans pour Eric Zemmour, jusqu’à 65 ans pour Emmanuel Macron (LREM) et Valérie Pécresse (LR). A les écouter, la nécessité de cette réforme s’imposerait d’elle-même, comme un état de fait. Pourtant, les principaux arguments qu’ils convoquent comme des évidences sont discutables...